Le chenil (4)
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... que toutes ses amies. En toute fin de journée, un traiteur commandé par Margot et Isabelle débarque avec tout plein de petits plats pas dégueulasses pour un sou.
La fatigue est là, à n’en pas douter. Toutes ces femmes commencent à en donner les signes après deux nouveaux tours dans les enclos. En haut, Colette et Karine ne donnent plus signe de vie, elles doivent certainement dormir. Sous la tonnelle, je propose nos chambres pour prendre du repos avant un éventuel nouveau round le lendemain. Je guide chacune dans les trois autres chambres disponibles. Puis, parmi les enclos, je donne à manger et à boire à ces valeureux baiseurs canins. C’est là que Margot me rejoint, incapable de trouver le sommeil. À moitié nue, elle me pose ses mains sur ma queue qui réagit immédiatement à ces doux attouchements.
— Tu sais, toi et Colette, vous pourriez vous faire des couilles en or.
— Tu sais, nous et le fric, ce n’est pas ce qu’on recherche. Bien sûr, il en faut pour vivre, nourrir nos chiens, réparer la maison, les enclos, les cages et les niches mais sinon, on a tout ce qu’il nous faut.
— Il vous faudrait quoi en plus ?
— Toi, Corinne, Isabelle et Karine ainsi que nos chiens. Voilà, c’est tout, même tes soumis, c’est déjà de trop. Non, nous ce qu’on aime, c’est baiser tranquillement, quand on en a envie. Pour Colette, c’est de s’enfiler dans un enclos, parmi ses chiens.
— Et toi ?
— Moi, aimer ma femme, lui faire l’amour, bricoler et de temps en temps, prendre du ...
... bon temps en guise de pourboire. Tu vois, rien de bien extraordinaire en somme.
— OK, donc tu ne veux pas voir mes soumis débarquer chez vous ?
— Sauf si tu en as qui aime les bêtes comme nous les aimons et capable de me faire de l’excellent travail, pas des branleurs.
— J’en ai et pas qu’un ou qu’une, plusieurs même.
— Alors dans ce cas, c’est voir.
Elle me prit par la main, m’entraîna dans la chambre que nous lui avions mise à disposition. Elle me pousse sur le lit pour mieux me sauter dessus. Si j’avais des fringues, je ne les avais plus. Margot me montre une autre facette de sa personne, l’amante douce et avenante, l’amie sensuelle, lascive. Nous faisons l’amour un long moment avant que Margot ne s’endorme comme les autres. Je la délaisse, pour aller au bureau, faire nos comptes. Ma douce colombe me rejoint, me demande de quoi nous parlions avec Margot, je lui raconte tout. Son sourire me dit que j’ai eu raison de céder à Margot. Sur ce petit banc, je me glisse entre ses cuisses pour lui dévorer toute son intimité, de son clitoris à son anus. Ma langue s’insinue partout où elle peut pénétrer et ma colombe apprécie comme à chaque fois. Plus j’enfonce ma langue, plus ma douce moitié se rapproche de l’orgasme. Je prie même pour qu’il réveille toute la maison et l’ensemble des chiens.
Pour avoir réveillé tout le chenil, Colette s’est montrée très à la hauteur. Son orgasme fut si puissant que je crois même que nos plus proches voisins ont dû nous entendre et ...