Nino (8)
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Maitre Francky, Source: Xstory
Il était environ 20h30, le dîner était fini, Manon et Nino étaient partis en ville voir des amis. Je dis à Léa de mettre un string ficelle blanc et une jupe courte avec un chemisier transparent sans soutif ; et je lui dis aussi qu’on allait faire un petit tour de coquineries, et qu’elle n’en saurait pas plus. Je mis un bermuda en toile et une chemisette blanche. Léa apparut dans une jupe courte de couleur bleu ciel qui s’arrêtait au ras des fesses et un chemisier blanc transparent. Je lui dis de se pencher en avant, les jambes tendues ; ce qu’elle fit et j’eus l’effet escompté : une fois baissée, sa jupe remontait, laissant apparaître ses fesses et la ficelle du string qui lui rentrait dans la raie des fesses. Allez ! En voiture. Nous prîmes la BMW cabriolet décapotable de Léa, nous roulâmes le toit replié, cheveux au vent.
Nous sortîmes de la ville par la rocade, je remontai la jupe de Léa juste au niveau de son string et je dégrafai deux boutons du chemisier, laissant apparaître ses seins libres ; nous nous dirigeâmes vers le plus grand centre routier du département, nous doublâmes quelques camions qui nous klaxonnèrent en voyant Léa. Je rentrai dans le parking bourré de centaines de camions, Français et étrangers, c’était l’heure où les routiers se restauraient au self avant de repartir ou de dormir.
Je tournai autour des camions stationnés en voiture, pour voir si des routiers seraient intéressés par les atouts que Léa leur dévoilait. Je garai la BMW le long d’une ...
... semi-remorque au niveau de la cabine, c’était un Français immatriculé dans le Centre, les vitres de sa cabine étaient ouvertes et il y avait de la musique. Léa offrait toujours une magnifique vue sur ses jambes, cuisses et poitrine. Le chauffeur passa la tête par la fenêtre de sa cabine, il avait environ trente ans, brun, cheveux courts, il était musclé, bronzé, et torse nu.
— Ça ! C’est de la marchandise, dit-il, en sifflant d’admiration.
Je remarquai que sa cabine faisait couchette.
— On peut regarder ?
— Oui bien sûr.
Il s’appuya sur le rebord de sa portière et en profita. Léa déboutonna encore un bouton du chemisier laissant apparaître encore plus ses seins. Le routier n’en perdit pas une miette.
— Elle peut remonter encore sa jupe la dame s’il vous plaît ? demanda le routier.
Léa remonta sa jupe en se levant du siège en la faisant passer sur ses fesses et laissant apparaître le mince tissu de son string.
— Ho ! Putain, ça, c’est bon, dit le routier.
Léa dégrafa son chemisier totalement et tira les côtés vers l’arrière, dévoilant totalement ses seins gonflés et les pointes tendus vers l’avant, durs, fermes.
— Je peux toucher ? dit le routier.
— Vous pouvez. Répondis-je.
Aussitôt, il descendit de sa cabine, s’approcha de Léa, posa ses mains sur les seins de Léa et commença à les caresser. Il descendit sa main droite sur le ventre de Léa, continua à la caresser, atteignit le tissu du string, caressa sa chatte à travers le tissu tout en lui ...