1. Mon premier voyage de femme « libre »… 14° partie


    Datte: 10/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... tout. J'étais ouverte. John le comprit car il me pénétra profondément d'un coup. J'ai failli crier. Je me mordis les lèvres au sang pour ne pas détourner les spectateurs de leur film. Après quelques va et vient où j'avais l'impression qu'il m'écartelait, il me fit m'asseoir sur son pieu de chair. J'étais remplie comme jamais. Je n'osais bouger. John profita de ce répit pour me caresser les seins que j'avais tendus et durs à en crier… ses caresses me firent me contracter davantage autour de cette queue démonique.
    
    Il me pinça les tétons à en crier. Je n'étais plus que douleurs et plaisirs mélangés. Tous mes points sensibles étaient excités à l'extrême. Une vague me submergeait. Je perdais pied…
    
    John le sentit bien. Après ces quelques moments d'intimité sexuelle, il me redressa sans sortir de mon foureau.
    
    Il refit quelques va et vient doux avant de sortir d'un coup. Le coquin avait une idée derrière la tête. Il vint poser son gland sur ma corolle détendue par ses caresses précédentes et enfonça celui-ci lentement mais sûrement.
    
    Comment est-ce possible ? Je n'y croyais pas. Je l'accueillis avec plaisir. Il est vrai qu'Yves m'avait bien préparé toute la nuit précédente et mon anneau ainsi travaillé était heureusement devenu souple pour accueillir ce python.
    
    Une fois au fond, John s'agrippa à mes hanches et entama un va et vient qui s'accéléra de plus en plus vite. Il me rendit à nouveau folle et je ne sais plus combien de fois j'ai joui ainsi avant que sa semence ...
    ... m'inonde les entrailles….
    
    Nous restâmes ainsi quelques secondes avant que John m'entraînât pour m'asseoir avec lui. Son sexe toujours au plus profond de mon cul. Il était si bien qu'il ne voulait plus en sortir.
    
    Il m'embrassa dans le cou. Me serra dans ses bras et me murmura un "merci Éva… Tu as été merveilleuse…"
    
    Nous sommes restés ainsi jusqu'à la fin du film. Quelle histoire, ma petite Éva … Je vais en avoir des choses à raconter à Paul ce soir…
    
    Le film arrivait à sa fin. Avant celle-ci, je me dégageai de John. Mon cul était orphelin de son gros calibre. Je ne pus me résoudre à abandonner ce pilon à moitié recroquevillé. La bête restait bien éveillée.
    
    Je me mis à nouveau à genoux pour le prendre à nouveau dans ma bouche.
    
    Son gland était gonflé, gluant et odorant : un mélange de ma cyprine, de son sperme et du jus de mes entrailles…
    
    Je me mis à le lécher, à le nettoyer, à le gober pour en profiter une dernière fois. Et ce je sentis ce gentil cochon se contracter pour m'envoyer une dernière giclée au fond de la gorge. Et il en avait encore une bonne réserve. J'ai failli m'étouffer par sa semence abondante et épaisse. Je ne voulais rien pas en perdre une goutte et je me fis fort de tout avaler….
    
    Mais déjà, la musique du générique se fit entendre et les lumières commençaient à se rallumer. J'eus juste le temps de me redresser et de me rajuster.
    
    John fit de même. Une fois rhabillé, il me prit dans ses bras et me serra fort. Il me murmura à nouveau à ...