1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (18)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... me donnes des frissons ! T’es super craquant ce soir. En baissant le haut de sa robe puis en dégrafant son soutien-gorge.
    
    — Véro tu n’es pas sérieuse. En palpant chacun de ses seins bien vifs.
    
    — Je m’en fous, téte moi juste cinq minutes.
    
    Je l’attirais vers moi et toute docile, elle se cambra m’indiquant son désir de se faire aspirer sa poitrine. Sans empressement ma langue magique se lova à la base de son sein pour le lécher en remontant vers son aréole. Véro était dans une excitation totale et lorsque mes lèvres convoitèrent ses tétons, elle ne put s’empêcher de pousser un petit cri aigu. Elle était sous mon emprise, toute conquise en passant ma main dans mes cheveux. Je maternais à tour de rôle chacun de ses mamelons durcissant sous mes petits pincements agiles. D’une main elle soulevait sa jupe à mi-cuisse me facilitant le passage entre ses cuisses.
    
    — Oh continue je t’en prie… En prenant mon poignet pour l’attirer directement vers son intimité.
    
    — Tu aimes…tu aimes que je prenne soin de toi. Lui soufflai-je en berçant son clitoris du bout du doigt.
    
    — Tu m’excites Patrick…tu m’excites…Dit-elle la bouche ouverte, le souffle haletant, son corps tremblant.
    
    — Je te connais par cœur Tatie chérie, coule-toi dans mes doigts… En appliquant la paume de ma main à ses lèvres intimes.
    
    — Oui…tu me connais Patrick. En baissant son bassin pour y laisser s’introduire mon doigt capital.
    
    — Je vois que la petite sœur y prend goût… En me mouvant dans son canal tout ...
    ... aspirant son téton domestiqué.
    
    — Hannnn….Hannnn… Fit-elle, haletante en chaloupant ses hanches érotiquement.
    
    — Oui c’est bien…jouis Véronique…jouis… En lui laissant l’initiative de ses mouvements.
    
    — Oh j’adore…j’adore mon Patrick… En se lovant contre moi durant de longues minutes.
    
    — Véro. Lui murmurai-je le temps qu’elle ait retrouvé ses esprits.
    
    — Oui je sais…c’était délicieux. En m’embrassant goulûment à pleine bouche.
    
    — Il faut monter…ils vont se poser des questions. En poursuivant son baiser interminable.
    
    — Oui chéri encore…
    
    A petits pas nous prenions l’escalier puis je regagnais mon lit, en jetant un coup d’oeil sur les garçons qui dormaient à poings fermés. La lumière du couloir s’éteignit pendant que je restais aux aguets une bonne vingtaine de minutes, le temps de prendre conscience du risque que j’encourais. Certes ma tante avait joui mais de mon côté j’attendais mon tour si je puis dire. Préférant faire abstraction de mes pensées, j’envoyais un texto à ma tante - je viens-. Dans la seconde, je recevais sa réponse - je t’attends -.
    
    J’étais pourtant chez mes parents donc à vrai dire chez moi, mais une fois dans le couloir j’eus cette impression fantasque d’être une sorte d’Arsène Lupin visitant des lieux inconnus. Sa porte était entrebâillée et le volet n’étant pas fermé, ce ne fut que grâce à l’éclairage providentiel du réverbère de la rue que je réussissais à atteindre son lit sans buter dans un obstacle quelconque. J’étais dans un état ...
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