1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (18)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... pas envoyé de texto Patrick ? Je ne t’attendais pas si tôt…
    
    — Ils dorment tous ! En ôtant mon caleçon et en soulevant son drap.
    
    — Ouh…je vois que mon neveu tient la forme pour me mettre enceinte ! Dit-elle admirative de mon sexe en s’asseyant sur le bord du lit les mains posées sur mes hanches.
    
    — Je croyais qu’il fallait faire vite Véro. En restant debout.
    
    — Tu viens de me dire que tout le monde dort…je n’ai fait que te regarder toute l’après-midi et depuis j’en ai trop envie. En suçotant mon gland.
    
    — Y a pas à dire ! T’es follement amoureuse à ce que je vois.
    
    Véro redressa la tête pour me fixer des yeux, puis lentement elle laissa glisser ma verge entre ses lèvres exquises. Bien qu’elle fût ma tante, je devais admettre qu’elle était une formidable suceuse, une experte de la fellation. Elle ne voulut pas le reconnaître, consentant simplement aimer me le faire juste avec moi. Je restais admiratif devant tant d’application…
    
    Encore une fois mon compagnon le réverbère m’interpella pour me rappeler la situation insolite que j’étais en train de vivre. Cela se passait dans ma propre chambre. Moi qui lui avait parlé il y a quelques mois encore dans la pièce voisine. Moi qui avait tenté de la draguer sans oser passer à l’acte. Je réalisais que je me retrouvais dans la demeure familiale, que ma tante creusait ses joues pour mieux aspirer mon sexe, qu’elle me suçait savoureusement en se délectant d’avoir mon membre dans sa bouche au fond de son palais. Du grand ...
    ... art si j’ose dire de sa part.
    
    — Patrick, je ne vais pas au bout… Murmura-t-elle en délaissant ma verge recouverte de sa salive à l’air libre.
    
    — Oui alors allonge-toi ma belle Véronique.
    
    D’un revers du bras, elle s’essuya les lèvres mais au lieu de s’allonger elle se mit debout pour se coller contre moi. Une envie irrésistible de tendresse la submergeait avant de passer à l’acte. Mon érection était maximale mais Véronique m’enlaçait sans s’en préoccuper. J’échangeais un long baiser en lui pelotant férocement ses fesses que je qualifiais d’infernales, tant je devinais leurs courbes parfaites à travers mes amples passages…
    
    — Véro… En lui laissant comprendre non plus mon appétence mais une quasi fringale de son corps.
    
    — Oui mon chéri je m’allonge…
    
    — Quand je te regarde, j’ai l’impression de rêver. En me disposant face à sa source conquise.
    
    — Oui et tu sais que ça me gêne alors viens… Se lamenta-t-elle en creusant son ventre pour mieux se savoir désirer.
    
    J’éviterais les mots qui m’étaient venus à l’esprit à ce moment pour conserver une littérature, enfin disons un style littéraire acceptable. Ce fut avec une force indéniable qu’il me fallut admettre que ma tante avec son ventre creusé, son sexe offert, ses seins en alerte et ses lèvres souriantes s’acquittait de loin du charme fatal de la quadra dans toute sa splendeur. De la à la comparer à une bombe sexuelle, le fossé était minime et mon sexe ne se posa pas la question.
    
    — Ohhh oui enfin… Confessa-t-elle ...