1. Les Routiers


    Datte: 10/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byjdrd, Source: Literotica

    Nous étions partis, mon épouse et moi-même pour deux semaines de vacances dans le Cantal, fin septembre. Nous n'aimons pas la foule estivale et l'arrière saison présente bien des avantages, peu de monde, tarifs plus attractifs, meilleur service et, nous étions chanceux, un très beau soleil. Nous avions choisi le Cantal car nous voulions vraiment nous « perdre » dans la nature. Nous sommes un couple de 35 ans et mon épouse est une belle rousse aux formes généreuses. Notre vie sexuelle n'est pas des plus excitante, mon épouse étant très traditionnelle et très peu demandeuse, à mon grand regret. Ce jour là, nous roulions sur une départementale et j'avais l'impression que nous étions seul au monde. Nous n'avions croisé durant la dernière demi heure que 3 camions de transport de bois. Mais c'est ce que nous étions venus chercher...Nous avions réservé un gîte à 50 km de là, et les clés nous attendais cachées sous une certaine pierre (en tous cas c'est ce que le propriétaire nous avait dit, ne souhaitant pas se déplacer un samedi soir pour nous accueillir. Cela nous convenait aussi parfaitement, pas de conversation barbante à tenir!
    
    Ma femme portait ce jour là une robe aux fines bretelles, boutonnée sur l'avant. Les bretelles étaient trop fines pour pouvoir porter un soutien gorge. Son opulente poitrine était donc libre sous le tissus et je pouvais admirer ses seins tressauter quand nous prenions un nid de poule, nombreux sur cette route. Elle portait des sandales à ...
    ... lanière à haut talons compensés, qui mettaient en valeur ses jambes bien galbées quand elle marchait. Très excitante en fait...
    
    Alors que j'observais ses cuisses bronzées, la voiture roula dans un nid de poule et j'entendis un grand boum. Heureusement je ne roulais pas trop vite et je pu me garer rapidement. Le pneu avait éclaté, ce qui n'était pas trop grave, mais l'essieu avait bougé, ce qui l'était plus. Je ne pouvais pas changer la roue moi-même. Je sortais mon téléphone portable pour appeler une dépanneuse, mais malheureusement pas de réseau! Le prochain village se trouvait à 5 km et nous y trouverions certainement un téléphone. Comme nous devisions avec mon épouse pour nous mettre en route à pied, un camion de transport de bois arrivait en sens inverse. Je lui fis des signes pour l'arrêter, et nous fûmes soulagés de le voir se ranger sur le bas côté. Un homme d'environ 55 ans, pas très grand et ventripotent dans son marcel en descendit. L'archétype du routier! Il nous demanda ce qui nous arrivait et comme je lui expliquais il me dit qu'il n'était pas étonné. La route n'est pratiquement empruntée que par des camions de bois surchargés, et les poids conjugué aux rigueurs de l'hiver provoquait tellement de ravages que la DDE avait renoncé à réparer. Il nous proposa de nous amener à un relais de transport forestier qui se trouvait un peu en retrait à 3 kilomètres, ou nous pourrions téléphoner, manger et même dormir si le dépannage prenait trop de temps. Il était vraiment ...
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