L’Hôtel de la plage (11) - Marco - Histoires de Sexe

L’Hôtel de la plage (11) - Marco

... sous la cuisine. Il faut passer par l’extérieur et j’en profite pour respirer les arômes des plantes chauffées par le soleil toute la journée. J’ouvre le cellier, allume le plafonnier et referme la porte derrière nous.

Nos deux invités commencent à se foutre à poil et sont bientôt totalement nus, beaux comme des dieux et violemment en érection. Nous les imitons mais c’est un peu plus long pour nous de nous débarrasser de nos tenues de travail. Je bande et ma queue est coincée sous l’élastique de mon caleçon. Nu je regarde Alex dans les yeux. Il pose son regard sur mon sexe.

Alex semble contrarié :

- Euh….en fait…

- Quoi ? y’a un problème ?

Je le fais exprès, je connais le problème pour l’avoir rencontré si souvent déjà.

- T’es trop gros…je veux dire….beaucoup trop gros pour moi

- T’as peur ?

- Oui…non….enfin je peux pas prendre une queue pareille

Ben se mêle à la conversation

- Je t’avais prévenu que c’était particulier quand même

- Oui mais à ce point là…

En attendant moi j’ai furieusement envie du petit roux et j’ai pas envie qu’il me fasse faux bond.

- Allez Alex…on essaye…je vais doucement…et si ça se trouve tu vas aimer..

Ben l’encourage alors qu’Arthur est déjà à genoux devant lui en train de le pomper avec adresse. La bouche de mon second est un véritable miracle de la nature et j’envie Ben à ce moment-là pour tout le plaisir que sa queue puis son corps tout entier vont ressentir sous l’effet des caresses et succions de mon ...

... collaborateur.

Alex est tendu, je m’approche de lui et l’embrasse. Tant pis su Ben n’apprécie pas mais il ne se dérobe pas et me rend mon baiser vorace. Je le caresse pour le détendre, je saisis sa queue, dure comme l’acier, qui me confirme son excitation. Après quelques minutes de douceur je le fais pivoter et lui fais comprendre de se pencher en avant en s’appuyant sur une table posée contre un des murs du cellier. Je m’accroupis derrière lui et admire ses fesses velues couvertes d’une toison orange. Je n’ai pas l’habitude de baiser des roux mais lui me rend dingue ce soir.

Je ne peux pas me retenir d’exprime mon admiration :

- P….quel cul !

Puis je pose mes mains sur la douce fourrure pour écarter ses fesses dures et me régaler de la vue de son anus rose pâle. Il n’a effectivement pas la rondelle d’un mec habitué à se faire envahir par des calibres hors normes. Au contraire, je pourrais même penser que sa petite chatte de mec est vierge tant elle me paraît vulnérable…mais trop tentante pour que je renonce. Il a intérêt à être élastique. Je commence par faire couler un jet de salive dans la raie pour lui caresser l’anus avec mon doigt…légèrement…en tournant… Il se détend. Il apprécie. Puis je rentre mon index dans le trou…pas de crispation…il aime…moi aussi…c’est terriblement doux et chaud. J’attaque ensuite son trou à petits coups de langue…puis des mouvements plus amples. Je lui lèche toute la raie…de la base des couilles qui pendent joliment entre ses cuisses ...