COLLECTION HISTOIRE COURTE. Dépucelage volé (1/1)
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... moment-là, ce qu’il était et surtout son âge est passé au second plan.
J’allais enfin baiser, j’allais enfin me faire baiser, rattrapant le retard des copines et m’ouvrant au milieu du sexe.
C’est con, je suis jolie fille et le fait de cette première fois, je prenais toujours des râteaux du genre de celui avec le fils de l’homme qui, m’ayant allongé sur la peau de bête, présente sa verge à ma minette.
- Tu vois je fais doucement, doucement, tu vois ça force un peu.
Veux-tu que je ressorte ?
- Non attends.
Il s’arrête et c’est moi d’un grand coup de cul qui me le plante au fond de moi.
Mes jambes se soulèvent instinctivement le bloquant.
Sa bouche cherche ma bouche que je lui abandonne.
J’ai mal mais c’est supportable, je suis sûre que la prochaine fois je vais entièrement jouir, là j’ai simplement un petit frisson, euréka, je suis une femme.
- Alice, pourquoi pleures-tu ?
Je t’ai fait mal ?
- Non, c’était bien, mais tu es l’amant de maman !
C’est démentiel, Robert est encore en moi quand je lui assomme cette vérité.
- Pense à toi, tu avais un problème, je l’ai réglé.
Peu importe si je couche avec ta mère et que je la fais jouir.
Si je comprends bien, tu as dû nous entendre, pourtant quand je viens le soir on fait attention.
À partir de maintenant vie ta vie, ai de nombreux amants, ta chatte est ouverte à toutes les verges qui viendront en elle.
Comme tu sais que je suis l’amant de ta mère, restons-en là, nous ne l’aurons ...
... fait qu’une seule fois.
Robert s’est relevé, a remonté son pantalon et est sorti me donnant simplement une tape sur le bout de son nez.
À la fin de l’année de fac, j’ai eu de nombreux amants, je jouis chaque fois de façon démentielle.
J’ai souvent croisé Alain qui me regardait timidement, pauvre garçon, s’il savait que je sais, il faudrait qu’il fasse son coming out, j’ai envie de lui dire que son père sait et qu’il semble bien le prendre.
C’est au bal de fin d’année que les choses s’accélèrent.
- Alice, veux-tu danser ?
Le pauvre garçon, il me fait pitié, j’accepte de le suivre sur la piste de danse.
C’est rare, c’est un slow que le DJ a mis sur sa platine, nous dansons et une chose m’intrigue.
- Mais tu bandes Alain !
- Bien sûr j’ai envie de toi, je vais aller plus loin, je t’aime, j’espère qu’il en est de même pour toi.
- Mais tu es gai !
- Comme tu y vas qui t’as dit ça ?
- Ça se dit à la fac, certains de tes copains en parlent.
Comment parler de la valise sans dévoiler ma source ?
- Je sais que ce bruit court depuis que Fred mon copain m’a confié une valise qu’il souhaitait soustraire à son père !
C’est lui qui est gai, je reconnais que je l’ai ouverte, j’ai même eu le malheur de l’ouvrir et de regarder des films et des revues.
Je t’aime, je vais tout te dire, un jour je me suis masturbé devant un film, sans arriver à me faire jouir.
La valise, je la lui ai rendue, j’ai des films, tous hétéro.
Je vais les jeter pour ...