Mathilde et Pauline 02 - Histoires de Sexe

Mathilde et Pauline 02

Chapitre II – La découverte des corps.

Mathilde s’allongea, les yeux fermés, se laissant aller, les bras au-dessus de la tête, une invite qui disait à Pauline qu’elle s’en remettait entièrement à elle, soumise par avance aux fantaisies les plus hardies. Pauline se pencha et embrassa sa partenaire avec plus de fougue que la première fois, reprenant sa respiration en la regardant pour recommencer de plus belle. Elle n’en revenait pas de tenir dans ses bras cette longue fille brune aux yeux verts, avec un physique de mannequin. À ce moment précis, elle aurait aimé être Kali, cette déesse indienne à plusieurs bras, elle avait cette douloureuse impression de ne pas faire ce qu’il fallait ou peut-être d’en faire trop, de ne pas laisser le temps à Mathilde d’apprécier ses caresses. Son cœur battait la chamade avec la sensation que le bruit s’entendait à des kilomètres. La chambre résonnait de murmures, de respirations fortes et de petits gémissements, Pauline se souleva sur un coude puis se leva pour dégrafer le jean et le faire glisser sur les jambes de sa complice. Mathilde se leva à son tour pour retirer ses chaussettes et son tee shirt pendant que Pauline se déshabillait aussi, ne gardant sur elle que sa petite culotte aussi bleue que les sous-vêtements de Mathilde étaient rouges.

Une jambe sur celle de sa partenaire, Pauline mordait doucement la bouche de Mathilde tout en passant sa main sur les seins comprimés dans le soutien-gorge, pièce de lingerie qui atterrit au ...

... pied du lit peu de temps plus tard. Bien que plus jeune, Pauline prenait toutes les initiatives et Mathilde restait assez passive finalement. Tout en continuant son baiser, la main de Pauline caressa lentement le ventre de Mathilde et se glissa sous la culotte, Mathilde ouvrit les yeux et sourit puis referma ses paupières. Pauline continua sa caresse, remarquant que Mathilde était épilée façon ″ petit ticket de métro ″. son doigt appuyait doucement sur le capuchon du clitoris, le tirant vers l'arrière pour le faire sortir, Mathilde écarta ses jambes en gémissant de plus belle. C’est elle qui se contorsionna pour retirer son ultime vêtement, vingt grammes de tissu léger qui alla rejoindre son complément sur le tapis. Mathilde était intégralement nue, Pauline cessa son baiser et tout en continuant ses caresses de la base du cou au nombril, elle la détailla comme pourrait le faire un entomologiste devant un beau spécimen de coléoptère.

Mathilde était grande mais peu velue pour une brune, ses belles jambes se terminaient par des pieds fins et bien entretenus, avec du vernis transparent sur les ongles, Pauline remonta son regard, les seins étaient impressionnants et tranchaient avec la taille fine et les hanches pas trop larges, même allongée, ils ne s’affaissaient pas, les tétons dardés d’avoir été mordillés luisaient encore de la salive de Pauline, les aréoles étaient larges et foncées, Mathilde avait une poitrine de rêve qui était certainement plus proche du 100 que ...