Carnaval à la Martinique
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Mic79, Source: Hds
Carnaval à la Martinique
Nous venons de rendre le bateau , au Marin après 15 jours de navigation et il nous reste encore 4 jours avant le départ. Nous avons rejoint des amis martiniquais chez qui nous logeons . Vielle amitié et régulièrement nous nous recevons. Cela tombe bien car c’est le carnaval et pendant trois jours nous allons pouvoir faire la fête et boire un peu de rhum, juste un peu et manger quelques spécialités, acras ou boudins antillais, sans parler d’un cari crevettes dont nous raffolons .
Aujourd’hui c’est un vidé noir et rouge ( vidé signifie défilé) pour ma part , pantalon et chemise noirs, idem pour notre ami Paulo et pour nini, une courte jupe en madras, avec un boléro rouge, couvrant tout juste un soutien sein de même couleur ; c’est pendant le vidé que je pourrais constater qu’elle a aussi un tanga rouge ; pour notre amie, Joceline, c’est tenue traditionnelle, avec la coiffe dans le même tissu madras.
17 H heure traditionnelle du départ, avec en tête le groupe des Diables rouges, très connu ici pour son animation joyeuse et très sonore. Nous déambulons dans les rues du centre-ville , avec en prime, un passage devant un bar délivrant facilement un petit punch. Inutile de préciser que l’ambiance est très chaude, chacun se tenant par la main, par le cou ou par les hanches, ce qui amène souvent les mains sur les fesses des femmes ; et c’est le cas pour Nini ; Paulo n’hésite pas à lui ploter les miches, et je me rends compte que parfois les ...
... embrassades sont plus près des lèvres que de la joue. Je dois reconnaitre que rapidement , il en est de meme pour Jo et moi, mais sans doute avec plus de retenue ; je connais la réputation de dragueur de Paulo, réputation confirmée par Jo qui me demande si je n’ai pas peur de laisser ma femme avec lui.
Comme il fallait s’y attendre, nous sommes rapidement séparés, ce qui en soit n’est pas grave, mais alors que Jo propose d’aller combler un peu le trop de rhum par quelques friandises locales, impossible de retrouver Nini et Paulo ; le téléphone de Paulo restant lui muet ; en riant Jo me dit
« Je t’avais prévenu, il a dû l’entrainer dans un petit coin discret pour un câlin, pourquoi tu ne ferais pas la même chose ; viens j’ai envie de t’embrasser et que tu me caresses. Me prenant par la main, elle m’entraine dans une petite ruelle, à l’abri des regards et sans une hésitation, elle m’embrasse fougueusement, baiser auquel je réponds, ma langue lui fouillant sa bouche. Collés comme nous sommes, je sens sa poitrine écrasée contre moi, alors que mon sexe, bandé lui appuie sur mont de venus. Elle se frotte contre moi et quand ma main s’engage entre ses cuisses , la jupe retroussée, je constate que son ventre est libre de tout vêtement ; lui écartant sans difficulté les jambes, mes doigts la fouillent, baignant déjà dans sa cyprine ; elle s’offre à mes doigts , se cambrant pour que la main la fouille encore plus profondément, gémissant, réclamant pour que je la possède ; la retournant, je ...