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Le Club - Partie 11
Datte: 19/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAgentChelateur, Source: Literotica
... décision qui la prenait totalement au dépourvu. - Je ne comprends pas, réussit -- elle à articuler finalement. Je sais que nous avons commis des erreurs mais je ne pense pas mériter une telle sanction. - Laissez votre travail en dehors de cela, il n'y est pour rien. Si j'ai décidé de me séparer de vous c'est pour une autre raison. Je ne peux tout simplement pas me permettre de conserver des putes dans mon staff. Ce mot l'assomma presque aussi sûrement que s'il l'avait frappé d'un coup de poing. Elle ouvrit la bouche pour se défendre mais il la devança. - J'ai reçu la visite d'un de nos clients, un certain Guillermo Diaz et il m'a fait un résumé très détaillé des services très spéciaux que vous lui avez prodigué. Comprenez que ces accusations sont très graves surtout dans un établissement du standing de l'Excelsior. - Mais c'est faux! s'emporta -- t -- elle. - Assez! la coupa -- t -- il sec. Croyez -- vous que j'ai pris cette décision à la légère. Je n'ai pas que les allégations de ce client. Il se trouve que cette personne a des goûts sexuels très particuliers et il semble aimer notamment filmer ses ébats sexuels. Il m'a fourni une vidéo très explicite à la fin de laquelle il vous remet une enveloppe dont on distingue parfaitement le contenu. Elle écarquilla les yeux. L'argent que Diaz lui avait donné et qu'elle n'avait pas osé refuser se retournait maintenant contre elle. Et dire que, comble de l'ironie, elle avait été totalement incapable de garder ...
... cette argent, symbole de l'humiliation qu'elle avait subie. Elle voulut le lui dire mais elle sentait que ce serait inutile, il s'était forgé sa conviction et n'en démordrait pas. Elle allait tout perdre après avoir tant sacrifié. - Je vous en prie, sanglota -- t -- elle. J'ai absolument besoin de cet emploi et j'ai travaillé très dur ces dernières semaines pour faire de cet hôtel le palace que vous voulez qu'il devienne. - Oui et votre vénalité risque de tout faire détruire, répliqua -- t -- il sans pitié. Je ne peux l'accepter. - Je vous en supplie, explosa -- t -- elle abandonnant toute fierté. Je ferais tout ce que vous voulez pour faire oublier cette erreur. Un sourire mauvais se dessina alors sur le visage d'Uron. Il se leva et se dirigea vers la porte du bureau qu'il ferma à clé. - C'est exactement ce que je voulais entendre. Tu peux peut -- être encore sauver ta tête. Elle le dévisagea alors qu'il s'approchait d'elle avec cette expression malsaine qui lui rappela celle qu'elle avait lue sur le visage de Diaz. - Il n'y a pas de raison qu'il n'y ait que Diaz qui profite de tes qualités cachées. Après tout, je suis le patron ici, je suis prioritaire. Fous -- toi à poil! Elle resta interdite devant cet ordre totalement incroyable et elle voulut crier mais avant qu'elle ne put prononcer le moindre son, elle fut cueillie par un direct du droit à la mâchoire. Une horrible douleur emplit toute la moitié de son visage. - Je déteste attendre et encore ...