Des amis formidables
Datte: 08/02/2019,
Catégories:
ff,
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inconnu,
sexshop,
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Masturbation
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Oral
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Auteur: Bagatelle, Source: Revebebe
... Il remit son sexe en place, et me prenant par les hanches, il imprima le rythme. Thierry vint en face de moi pour que je le suce. Je mouillais si abondamment que Xavier m’écarta les fesses, ses doigts s’immiscent dans mon anus, lubrifié par mes sécrétions. Venant bien à fond, en moi, à grand coup de reins comme seuls savent donner les sportifs, me claquant les fesses de temps à autre pour faire retentir ma voix si jouissive, selon eux. Pour mieux m’entendre, Xavier proposa à Thierry qu’il vienne derrière moi. Thierry ne pouvant résister devant ce spectacle mit un peu de gel sur ma rosette et posa son nœud contre mon anus. Il poussa tandis qu’il m’écartait les fesses et il entra en moi doucement. Tous les deux firent très doucement pour bien trouver le tempo afin que leurs sexes restent bien en place. C’était ma première double pénétration et je leur demandai d’être très doux, quand tout fut bien lubrifié et la mécanique bien rodée, ils montèrent en régime, mon corps tout entier exprima son contentement. Me redressant sur mes bras pour qu’aucun sexe ne sorte, Xavier en profita pour me dévorer les mamelons, pour ne pas être en reste Thierry me claquait les fesses.
Ils m’insultèrent, me traitant de chienne et de salope. L’orgasme fut si puissant que j’eus l’impression de perdre la tête un très bref instant ne sachant plus où j’étais.
Je n’étais plus qu’une salope et je voulais qu’ils me baisent à fond et une chose est sûre, j’ai été baisée bien à fond, mon mari me ...
... regardant étonné, jamais je n’avais autant hurlé. La double, c’est wouah ! c’est démentiel.
Nous étions tous les cinq dans ce sous-sol, sur le lit, sur le sol, allongés ou assis, mais aucun ne bougeait ni même ne parlait. Tous suspendus à ce qui venait de se passer, absorbés par l’émotion d’une telle étreinte, se reposant, le corps vidé, l’esprit virevoltant au-dessus de nous, cherchant dans le regard des autres se sentiments d’abandon, du don de soi.
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Je fus la première à me ressaisir, je demandai à me laver, voire à prendre un bain pour raffermir mes chairs qui n’ont pas l’habitude de telles épreuves. J’avais mal au « cul ».
Angéla me guida jusqu’à la salle de bain, me fit couler un bain. Je glissai sur l’émail, coulant comme une pierre, l’eau chaude m’enveloppant de son manteau de mousse me fit l’effet de mille caresses, je me détendais, fermant les yeux, laissant mon esprit exulter de ces instants passés.
Un bisou sur ma joue ! J’ouvris les yeux, Angéla se tenait à genoux près de moi, nue. Elle me prit une main, la porta à son visage, se calant dans ma paume.
— Merci, me dit-elle.
Je lui souris, et elle grimpa dans la baignoire, le niveau de l’eau monta d’un coup, berçant mes seins de son écume. Allongées toutes deux, les corps enchevêtrés, nous nous regardions tendrement, je posai ma tête en arrière, les yeux mi-clos, ma peau au contact de ses jambes, de sa peau si douce, me relaxant.
Le temps s’était arrêté, ...