Des lesbiennes se partagent un sex-toy très spécial (2)
Datte: 19/02/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... sexe de Claude grandit encore, Laure, retrouvant doucement ses esprits, le caresse avec sa main droite à travers le tissu.
— Putain le morceau !
Elle repousse Emilie et arrache le drap, Claude a des entraves sur ses cuisses, son ventre et au niveau de sa poitrine. Un mat impressionnant combattant la gravité terrestre s’érige au milieu de son corps.
Laure, qui est la seule de nous trois à avoir déjà connu le sexe masculin en vrai, ne tarit pas de compliments.
— Jamais vu ça ! Putain de merde, quelle queue ! Pire qu’un black ! C’est pas possible que ce « gamin » soit monté si gros !
Je dois dire qu’elle n’est pas la seule interloquée par la taille du sexe de Claude. Il n’atteint peut-être pas l’épaisseur du gode surdimensionné de Laure qu’elle est la seule à supporter mais il n’en est pas bien loin... Et pour la longueur, à part nos godes doubles, nous n’avons rien d’aussi grand.
Laure ne peut s’empêcher de saisir à deux mains l’objet de son envie, il est si gros que ses pouces n’arrivent pas à toucher ses autres doigts.
— Alors les filles ! s’exclame Laure. Quand je vous avais dit qu’il avait l’air d’être monté comme un âne !!! J’ai toujours aimé les hommes bien montés mais je n’avais pas encore trouvé un tel phénomène. Venez les filles ! N’ayez pas peur de lui, il ne va pas vous mordre !
Je me lance et prends avec délicatesse cette « chose », l’effet est nouveau pour moi.
— Oh ! Que c’est chaud ! C’est tout doux et pourtant si dur, je sens même ...
... pulser son machin. Viens voir Emilie, il va bien falloir que tu domines ta répulsion du « sexe mâle » si tu veux que Claude te mette en cloque !
Elle approche sa main et saisit à son tour la verge gonflée avec appréhension et délicatesse.
— Tu as raison Nicole, c’est drôlement chaud, Il n’a pas la fièvre ? C’est vrai que c’est plus agréable à toucher qu’un gode !
Sans s’en rendre compte, l’atavisme revient et doucement, elle caresse la tige phénoménale.
Je viens la seconder, tâtant les sacs qui pendent dessous, les pressant dans ma main.
— Eh doucement ! s’écrie Léna en voyant son frère grimacer. C’est fragile ces choses-là ! Si tu veux vraiment serrer cette chose, mets la main plus haut, là tu peux y aller franchement !
Pendant une dizaine de minutes, nous nous amusons comme des gamines découvrant un nouveau jouet, Laure nous montre l’exemple en prenant en bouche le gland à la peau si fine. Cette découverte se prolonge un bon moment. On entend le bruit des fellations gourmandes léchant ensemble le gland, la grosse tige et les grosses gousses bien pleines. J’ose même gober son champignon violet gorgé de sang. Je ne peux pas exprimer l’effet que ça me fait mais je n’ai jamais ressenti ça. Soudain, Léna nous suggère, voyant les réactions de son frère :
— Si j’étais vous, les filles, j’enlèverais mes vêtements car il va vous les ruiner, il est pire que Peter North !
Qu’est-ce qu’elle raconte ? Ah je comprends... Claude ne va pas tarder à jouir. Mais qui c’est ...