1. Hell's (1)


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... pas après les demoiselles non plus ! Compris ? Sinon… Je te passe la laisse ! Allez, c’est parti !
    
    Le sentier autour du lac, il l’avait fait des centaines de fois tous les trois, voire parfois avec l’un des deux seuls. Hell’s avait toujours une foulée plus rapide que les deux époux et marchaient quelques mètres devant eux. Il fit de même alors que Claude se trouvait seule avec lui. La balade fut longue, mais il la sentait toujours un peu tendue, sans doute que le patron lui manquait. Après la promenade, il se retrouva seul dans le jardin. Mais au bout d’une longue attente, elle sortit et se rendit sur le ponton. Quand elle se dévêtit, il sut qu’ils allaient se baigner. L’eau… Hell’s l’adorait aussi !
    
    Sans aucun préambule, elle plongea depuis le plancher du ponton et dans un élan spontané, le chien sauta aussi dans la nappe bleue. Elle nageait bien, vite, mais il n’eut pas de grands efforts à fournir pour la rattraper. La baignade dura une bonne heure et de temps en temps de ses petites mains, elle lui envoyait une giclée d’eau. Lui donnait un coup de gueule et s’éloignait ! Un jeu bien innocent pour deux amis qui s’estimaient et s’aimaient bien sûr. Il la vit au bout de longues minutes reprendre la direction de la berge. Il fut sur celle-ci avant elle. Et il s’ébrouait déjà avant qu’elle ne s’entortille dans son immense drap en éponge.
    
    — Arrête, je me suis séchée ! Va te secouer plus loin, allez ! File !
    
    La récréation venait donc de prendre fin. Le soir elle le ...
    ... passa sur son canapé. Un lieu où il ne devait sous aucun prétexte monter. Michel et Claude ne voulaient pas et ils restaient intransigeants sur cela. Oh ! Il avait bien tenté au début de transgresser cette loi, mais il avait été durement tancé et il avait vite renoncé. Quand elle avait répondu au téléphone, il avait saisi que le patron était au bout du fil. Elle lui murmurait des gentillesses et il avait rapidement perçu les odeurs qu’elle secrétait. Celles de l’amour, celles des envies diurnes ou nocturnes. Il s’était éloigné pour se coucher à quelques pas. Du reste, elle ne s’était pas rhabillée, se contenant de la serviette.
    
    — Je t’aime Michel. Tu me manques déjà.
    
    —… mais à moi aussi ma belle !
    
    — Je voudrais que tu sois là, nous ferions l’amour. J’en ai encore envie. C’était bien ce matin, mais… tu sais nous nous sommes baignés, Hell’s et moi. Je suis encore nue.
    
    —… Humm ! Je voudrais te tripoter partout, venir m’enfoncer en toi !
    
    — Tu me ferais quoi ? Oui ! Dis-le-moi encore. Oui ! J’adore quand tu me parles comme ça… oh ! Oui, je la prendrais dans ma bouche, oui ! Ce n’est que partie remise… tu sais quand tu rentreras nous rattraperons le temps perdu.
    
    —… il ne se rattrape jamais, tu le sais bien. Ici il fait une de ces chaleurs !
    
    — Il va faire de l’orage, chez nous c’est lourd ! Je n’arrive pas, même après avoir nagé dans le lac, à retrouver un peu de fraicheur. Hell’s sent l’orage et il grogne et à cet âge-là… ça doit commencer à avoir des envies ...
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