1. Hypnose Mécanique


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... lui fissurer l'anus, mais sur le moment je m'en moque. J'ai envie de lui faire mal, je veux l'entendre hurler. Quand je passe à l'acte la réaction de ma sœurette dépasse toutes mes espérances.
    
    Je reprends, j'ai donc saisi les hanches de ma sœur, alors que mon gland est en elle. Léa contracte tellement son conduit que ma bite n'a pas été aspirée quand mon gland est entré. Je la tire violemment vers moi, tandis que je me propulse en avant du coup de reins le plus violent que je peux. Malgré l'étroitesse de son conduit anal, je rentre entre ses fesses de toutes ma longueur. Mon ventre cogne son postérieur dans un grand bruit de claque mouillée. Le hurlement de ma sœur est inimaginable. Long, guttural, venant du plus profond de son corps, de son âme. Pire que celui d'une bête blessée à mort. Je suis vraiment serré, je dirais même parfaitement serré. Léa a cabrée en hurlant, son dos venant heurter mon torse. Puis elle est retombée à quatre pattes, toujours hurlante. La malheureuse tremble de tout son corps, si fort que j'ai l'impression qu'elle me branle la bite. Je me suis mis alors à la travailler à grands coups de reins. La sodomisant comme un fou, lui arrachant des cris tous plus effroyables et affreux les uns que les autres. Je ne pensais pas que l'on pouvait hurler aussi longtemps, aussi fort. Chacun de ses cris, alors que je croyais cela impossible, monte d'un octave, d'une décibel, d'un volume à chacun de mes coups de reins. Je lui massacre le rectum, lui détruit ...
    ... l'anus. La vision de ma bite, rougit par son sang de pucelle, me rends ivre de lubricité. Heureusement pour elle, l'étroitesse du fourreau, la beauté pour moi de ses hurlements, font que j'éjacule vite au fond de ses entrailles. Mon sperme la brûle comme de l'acide, car cette fois, son hurlement doit s'entendre à l'autre bout de la ville. Heureusement que l'on vie dans une petite maison isolée, loin de tout vis-à-vis. Léa s'écroule à plat ventre, je m'écroule sur elle. La douleur doit encore être terrible pour elle, car ma sœur n'arrête pas de geindre. La pute tremble tellement, que par intermittence, son corps fait des soubresauts. Je lui arrache un ultime hurlement quand je me retire, que mon gland passe une dernière fois l'entrée de ses reins.
    
    Je regard dans son trou du cul béant, il n'y a pas de traces de blessures. Je m'allonge sur le dos. Je regarde ma bite molle, elle a des traces de sang, de sperme, et d'autres plus suspectes. Il va falloir qu'elle me nettoie. Je la regarde. Léa me tourne le dos, elle est en position fœtale. Je vois du sperme rosé par le sang coulé entre ses fesses, sur ses cuisses. Je pose une main sur son épaule, elle sursaute, lâche un petit geignement.
    
    - Pitié... Pas encore...
    
    Cette conne sanglote toujours, je suis content de moi, je me suis enfin vengé de toutes ces année où cette pute m'a tourmentée.
    
    - Tu vas me nettoyer avec ta bouche.
    
    - S'il te plaît, j'ai mal. Tu m'as fais mal!
    
    - Si tu refuses, je t'encule de nouveau. Tu sais que ...
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