" Et pourquoi pas? ou une histoire d'inceste ! " (8)
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... quelques instants elle va venir buter contre les parois de mon vagin, par où tu es passé il y a 19 ans de cela…
Elle me caressait le torse, saisissait mon membre et le masturbait avec douceur. Timidement j’avançais mes deux mains sur ses seins, lui titillais un mamelon tandis que mon autre main saisissait l’autre sein.
Mes caresses se firent plus enfiévrées et bientôt nos bouches s’unirent ; nos langues s’entremêlaient en un ballet très érotique.
Puis toujours en l’embrassant je pris possession de son sexe avec ma main, je passais le tranchant de ma main sous sa vulve.
A chaque fois que je pressais un peu plus en direction de son clitoris, je la sentais vibrer.
Puis elle s’allongea sur le dos, les jambes bien écartées, offerte, et me demanda de découvrir son sexe.
Alors je vis les lèvres gonflées par le désir, la fente bien ouverte par les assauts de mon père
Le clitoris turgescent semblait être une invite aux caresses de mes doigts.
Elle saisit ma main et la porta sur son clitoris et me demanda de la branler.
Alors, appliquant les leçons de mes films pornos, je commençais à masser doucement le gros bouton qui se dressait encore, et devenait tout dur sous mes caresses. Ma mère gémissait de plus en plus, et puis eut un premier orgasme.
Puis elle me demanda de la prendre, elle au-dessus de moi.
Je m’allongeais donc sur le lit, et elle prenant ma verge la guida dans l’endroit sacré.
L’ayant enfilée facilement, jusqu’à la garde, je commençais ...
... doucement un mouvement de mon bassin…
Cécile, ma mère, était donc empalée sur mon sexe et me présentait son dos.
Elle ondulait du bassin, me provoquant des sensations sublimes, ma verge la pénétrait au plus profond de son intimité ; à chaque fois qu’elle avançait et reculait son bassin pour bien venir écraser son clitoris sur l’os de mon pubis, dans un « mouvement de meule », elle exhalait une plainte extatique.
A un moment, alors que je dois l’avouer, j’étais un peu statique et me régalais des sensations perçues, elle me demanda d’être un peu plus actif.
Me redressant un peu, lui mettant les mains sur ses hanches je la pénétrais donc plus rapidement et très vite ce furent des coups de boutoir que je lui assénai.
Mon père qui s’était rapproché de nous et nous regardait en train de faire l’amour me dit :
« Tu lui tapes le point G avec ta queue, cela te plait ma chérie ?
— Mmhm ! Il me baise comme un Dieu, c’est trop bon, j’ai du mal à me retenir de crier.
— Tu as encore un reste de pudeur alors que tu te fais baiser comme une chienne par ton fils devant ton mari ? C’est plutôt drôle…
Au point où tu en es, ne retiens pas tes cris de jouissance … »
Ce fut alors un festival ; à chaque fois que je butais contre son point G, Cécile gémissait et ahanait de plus en plus bruyamment.
J’étais fier de donner autant de plaisir à cette femme, j’avais l’impression de me débrouiller pas trop mal pour une première fois…
Alors que ma mère cria plusieurs fois ...