Quatrième rencontre échangiste : le loft
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Subtilparis, Source: Hds
Ce qui est bien quand on commence à rencontrer des couples c’est dans le milieu échangiste c’est qu’on fait partie de la « chair fraiche » que les habitués, un peu blasés peut-être, ont envie de rencontrer. Deux semaines après notre troisième expérience nous avions ainsi été invités à une soirée « hommes et femmes des cavernes » par l’ami d’un ami d’un ami d’un autre ami. En fait on ne savait pas trop comment ça s’était goupillé mais nous étions en bas d’un immeuble assez sinistre, qui avait été industriel, dans le XIXème arrondissement de Paris, nos peaux de bête et autres ustensiles cro-magonesques dans un grand sac. Un peu inquiets mais vite rassurés de monter les escaliers aux côtés d’autres couples visiblement habitués de lieux.
Notre hôte nous ouvrit avec dans les yeux toute la concupiscence du monde pour la lourde poitrine de Caroline qui pointait déjà, son mètre 80 bien dressé sur ses talons. Il était habillé d’une peau de bête mais surtout tout son loft était recouvert de papiers qui faisaient penser à une immense grotte. Les autres invités étaient aussi peu habillés et nous nous dépêchâmes d’en faire de même. Il ne me restait plus sur le dos qu’un minuscule slip peu de léopard et une massue en plastique qui ne devait guère empêcher les males présents de s’intéresser à Caroline.
Il faut dire qu’elle avait mis le paquet avec un bikini riquiqui qui cachait à peine sa lourde poitrine – ce n’est que quelques semaines plus tard qu’elle décida d’adopter le corset ...
... -, un maquillage outrancier et son sourire discret qui disait « prenez moi mais soyez entreprenants ». C’est un chose que j’avais comprise au fil de nos premières rencontres : assez dirigiste en famille, Caroline était assez soumise en soirées. Elle détestait les machos mais adorait les males dominants qui faisaient d’elle un peu ce qu’ils voulaient.
Et les mâles dominants ne manquaient pas ce soir-là, arborant fièrement leur virilité dans des micro-slips léopards que ne pouvaient s’empêcher de lorgner ses dames. Autre révélation de nos premières soirées : si Caroline avait toujours prétendu que la taille des sexes masculins ne comptait guère, elle jouissait d’autant plus qu’ils étaient imposants. « A condition qu’ils sachent s’en servir, à condition qu’ils sachent s’en servir Sébastien », m’avait-elle avoué au cours de cette semaine, excitée à l’idée de participer à sa première grande soirée.
Au fil de notre visite de l’immense loft nous croisions des regards connus, non ce n’était pas un collègue de bureau mais un acteur, et surtout notre hôte, Marc, qui insista finalement pour nous faire visiter les lieux plus reculés. Dans ce qui devait être sa chambre, sur un immense lit, un couple s’était constitué et six ou sept hommes les regardaient en se masturbant et en s’approchant régulièrement de la belle, maintenant en levrette, pour lui toucher les seins ou se faire sucer. Elle était très belle, très blonde – comme la plupart des femmes dans ces soirées - et l’homme qui ...