1. Carnaval de Binches


    Datte: 05/02/2019, Catégories: fh, volupté, init, Auteur: Rafaello, Source: Revebebe

    ... de silence et puis il sentit sa main sur sa joue. Elle ne disait rien. Il avança lui aussi la main ; ses cheveux, frais, humides, sa peau douce. Elle se rapprocha de lui et il sentit son souffle tiède contre son visage. Dans l’instant avant de sentir leurs lèvres se rencontrer, il lui sembla que ses poumons allaient éclater, qu’il allait se noyer dans son désir d’elle, dans son envie de tendresse.
    
    Et puis la chaleur de sa bouche, son visage contre le sien, l’odeur de sa peau et de ses cheveux. Il était totalement submergé par l’urgence de ses sensations. Il sentit son sexe devenir dur d’un coup, lourd et tendu. Il se perdait dans leur baiser; il léchait sa bouche, baisait ses lèvres, excité par les bruits humides qu’ils faisaient.
    
    Isabelle poussa un soupir et se coula contre lui. Elle était chaude, ronde, souple. S’il avait pu penser en ce moment il se serait dit qu’elle était tout ce qu’un homme trouve de beau et de bon dans le monde.
    
    Il avait peur qu’elle l’éloigne, qu’elle mette fin à leurs caresses, mais elle l’encourageait plutôt.
    
    Il avait eu froid en sortant de la douche et en se mettant au lit, mais il brûlait maintenant. Il caressa son épaule et la peau veloutée de son bras avant de poser la main sur sa poitrine. La rondeur glorieuse de ses seins le fit gémir. Isabelle pressa son ventre contre lui. Son pénis dressé se tendit contre elle. Ils soupiraient tous les deux, ivres de leur désir. Il l’explorait, passant sa main dans son dos, puis après plusieurs ...
    ... allers-retours, il la posa sur ses fesses rebondies. Il la caressa, l’attira contre lui. Ils basculèrent, lui sur le dos, elle sur lui, assise sur son érection. Elle enleva son tee-shirt et il toucha ses seins nus pour la première fois. C’était doux, chaud, rond impossiblement parfait. Il releva la tête, frotta son visage contre eux.
    
    Isabelle se mit à rire devant son envie d’elle, et l’embrassa à nouveau. Plus que du désir, l’émotion qu’il éprouvait le bouleversait. L’intimité, la tendresse et la douceur accueillante de cette fille contre lui étaient tout son univers. Isabelle respirait vite, soupirait sous ses caresses; elle se frottait contre son sexe. Il la tenait par le derrière pétrissant ses fesses pulpeuses sous la culotte.
    
    Elle se glissa à nouveau à côté de lui, et il sentit la main de la fille sur le bas de son ventre. Son cœur fit un bon, il leva le bassin pour aller à sa rencontre. La main se retira, caressa le haut des cuisses, le ventre à nouveau. Au moment où il crut devenir fou, elle posa la main sur son pénis bandé, le saisissant à travers le caleçon. Il eut un gémissement de plaisir et de gratitude mêlés. Elle le serrait doucement, plus délicatement qu’il ne l’aurait fait lui même. Ça avait un charme fou.
    
    — Isabelle…il avait la voix rauque et serrée.
    
    En réponse, elle sortit son sexe de son caleçon le prenant à deux mains. Elle le serrait, le palpait, le découvrait. Il lui sembla qu’elle l’explorait presque avec curiosité. D’une main elle le tenait ...