1. COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Océane (6/14)


    Datte: 04/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... consciencieusement et, incroyable, j’entends un léger ronflement.
    
    Au début il commençait à bander.
    
    Mais maintenant, ils dorment, lui et mon voyeur de mari.
    
    Ces deux "pourris" me laissent tomber, même si je les aime bien, la chatte en feu, ma bouche en manque de sperme.
    
    Je les plante là, inutile de les faire bouger, la seule chose que je fais ce sont deux bûches que je mets dans la cheminée.
    
    Je veux la suite de l’histoire et éviter un rhume pour ces messieurs, ils auront déjà assez mal à la tête demain matin.
    
    Je me souviens d’une cuite prise le jour de mes vingt ans, j’avais mis trois jours pour que les carillons qui sonnaient dans ma tête s’arrêtent.
    
    Je me lève, la circulation s'est rétablie malgré ma demi-heure agenouillée.
    
    Je vais aux petits coins, ils sont propres, pardon, propres c’est normal, mais présentables côté décor.
    
    Il va falloir tout de même que je fasse changer le papier peint.
    
    Cette impression que j’ai d’un voyeur regardant ma chatte se soulager soit remplacée par des petits oiseaux ou autres cela m’est égale.
    
    Le papier peint actuel représente un homme avec son Borsalino la tête un peu baissée, avec un œil qui regarde dans ma direction et mon entrejambe.
    
    Il serait seul, cela pourrait passer mais ils sont multipliés par dix et comme je suis nue, on comprend l’impression de voyeurisme que je ressens.
    
    Est-ce le grand-père qui est revenu ?
    
    Je rejoins la chambre encore habitable.
    
    Les rideaux de velours rouge ont des ...
    ... embrasses, je suis à deux doigts d’en prendre une et de me flageller, comme le faisaient les pénitents.
    
    Je préfère m’écrouler sur ce lit où j’ai l’impression d’être perdue vu sa taille.
    
    J’ai un instant l’impression que je prends goût à ce que mon maitre me flagelle.
    
    Comme mamy Patty, deviendrais-je, accro à la douleur !
    
    Il fait encore nuit quand j’émerge, je suis toujours seule, j’ai un peu froid.
    
    J’ouvre ma valise pour prendre mon nécessaire de toilette et je vais dans la salle de bain.
    
    Je prends une douche, il va falloir que je signale à Christian que si elle a été rénovée, celui qui a fait le travail est loin d’être à la hauteur de mon chef de chantier et du plombier qu’il emploi, chaud, froid, froid chaud, difficile à régler.
    
    Je me sèche et je passe un peignoir, le prenant sur la pile, Christian a fait le plein, ils seront tous dans chaque salle d’eau jouxtant chaque chambre les travaux à l’étage terminés.
    
    Le peignoir est court et épais, je le sers sur mes seins qui sont reposé ce matin.
    
    Il ferme avec une ceinture.
    
    Mes deux hommes dorment encore, renversés sur les fauteuils, leur bouche ouverte. L’un comme l’autre ronfle.
    
    J’entends du bruit dans la cuisine, je franchis la distance, mes mules effaçant les bruits.
    
    La porte atteinte, une jeune femme est en train de sortir des boîtes d’un carton, elle sent ma présence et sursaute.
    
    • Vous m’avez fait peur, j’ai cru que c’était l’un des alcooliques qui cuve à côté qui s’était réveillé, ça m’a ...