1. Comme d'habitude


    Datte: 03/02/2019, Catégories: fh, couple, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, 69, pénétratio, nostalgie, amourdura, Auteur: Jipiwawa, Source: Revebebe

    Séparé depuis bientôt trois ans de la mère de mes enfants, certains souvenirs de notre vie intime sont pourtant encore bien vivaces et se rappellent souvent à moi.
    
    Je vais d’abord planter le décor de ces tranches de vie, non pas dramatiques loin de là, mais bien agréables.
    
    Je m’appelle Jean-Pierre, et affleurant les quarante ans, les flash-back me ramènent quinze ans en arrière.
    
    Je venais de rencontrer celle qui allait partager ma vie pendant douze ans et me donner deux magnifiques enfants : Isabelle.
    
    Isa était, elle l’est toujours d’ailleurs, une belle femme. Des yeux rieurs, une longue silhouette élancée, de fines taches de rousseur et des jambes qui n’en finissent pas.
    
    Elle était la troisième fille d’une fratrie de quatre sœurs et sans être gironde, elle me faisait tourner la tête.
    
    Je ne me souviens que trop bien de ces instants où je la voyais s’habiller le matin, je ne pouvais me lasser de la dévorer du regard, son corps était un vrai délice pour les yeux et les sens.
    
    J’aimais la voir sortir de la baignoire, dépliant ses longues jambes, séchant son corps splendide tout rouge et chaud après la douche.
    
    Je vous ai parlé de sa silhouette fuselée, rehaussée de petits seins tendres et nerveux, dont les pointes se tendaient sous mes caresses ou mes baisers quand nous faisions l’amour.
    
    Mais le charme physique ultime qui me coupait le souffle à chaque fois que je le voyais, c’était ses fesses. Grand Dieu, je ne pouvais me lasser de les voir, de les ...
    ... contempler et quand nous étions dans l’intimité, je les caressais à pleines mains. Isa ne s’en rendait pas compte, mais tout dans sa personne m’attirait, je découvrais pour la première fois une femme magnifique et de loin très à mon goût.
    
    Ma chérie était cependant un peu complexée par la petitesse de ses seins. Moi, j’étais fan de fortes poitrines et je me rends compte maintenant de la peine que j’ai pu lui faire en le lui disant. Pour elle qui n’avait pas confiance en elle et ses charmes, mes paroles à propos des fortes poitrines devaient renforcer cette pensée vis-à-vis de son corps. Et pourtant comme j’aimais son corps et ses petits seins, je ne me lassais pas de les toucher et en sucer les pointes gonflées quand elle était excitée.
    
    Voilà la description physique de ma femme. Pour son état d’esprit, bien qu’une fois lancée elle aimât vraiment le sexe et ses sensations, elle avait une sorte de blocage et moi, ayant un grand appétit – surtout d’elle – je me sentais attiré et frustré.
    
    Je me souviens d’une soirée particulière, parmi tant d’autres à venir, mais celle-là reste à jamais gravée dans ma mémoire.
    
    C’était un mardi et nous étions en train de manger avec un de mes amis, Jeannot. Il n’avait pas son pareil, comme moi d’ailleurs, pour parler franchement de ce qu’il pensait et émettre son avis, faisant fi parfois des convenances.
    
    Mon Isa était issue d’une très bonne famille et souffrait parfois de mes phrases déplacées.
    
    Donc, à table, nous abordions les ...
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