1. Que c'est dur, une première séance photo !


    Datte: 18/02/2018, Catégories: fh, ffh, Collègues / Travail Oral pénétratio, Auteur: Eric Babanda, Source: Revebebe

    ... rapidement. Mais elle a voulu voir plus de peau ; j’ai mis alors un shorty bleuSpeedo qui avait la coupe plus traditionnelle. Elle m’a dit qu’elle n’aimait pas la couleur ; mais comme elle allait prendre des clichés en noir et blanc, cela devait faire l’affaire.
    
    Dans son atelier, il y avait un grand globe. Il faisait au moins deux mètres de diamètre, et même s’il était en papier mâché, il pesait environ trente kilos. Elle m’a disposé en tenant le globe sur mon épaule et en l’équilibrant avec mon bras tendu de l’autre côté. Elle m’a demandé de me mettre debout avec une jambe en face de l’autre, et avec les deux genoux légèrement pliés comme si je fléchissais pour le tenir. En vérité, j’étais complètement tendu car après une dizaine de minutes, mes bras me brûlaient énormément.
    
    Elle a marché autour de moi pour me voir de tous les côtés. Elle a rangé mes cheveux et elle a repositionné mes mains. Elle voulait ma main droite pour couvrir l’Afrique d’une certaine façon. Comme si elle faisait une déclaration politique, je ne savais pas. Peut-être que cela n’avait aucun sens.
    
    Elle a regardé à travers son appareil photo puis elle a dit :
    
    — Éric, tu es superbe. J’aime la façon dont les tendons de tes épaules se démarquent et j’aime les nerfs saillants dans ton avant-bras, et même ton front. Mais tu as besoin de faire quelque chose au sujet de ton zizi.
    
    « Mon zizi ? » Je ne pouvais pas croire cette célèbre photographe de Paris avec une sensibilité de bohême appeler mon ...
    ... pénis « zizi ». J’ai presque laissé tomber le monde de mon épaule. Mais ce n’était pas tout, car elle s’est arrêtée derrière moi et a plongé la main dans monSpeedo.
    
    — Ne bouge pas. Tes bras et le haut du corps sont parfaits. Je vais t’arranger ça.
    
    Elle a repositionné mon pénis en le soulevant de sa position repliée. Elle l’a rangé en avant dans mon maillot de bain, pointant ni trop haut ni trop bas. Ensuite, elle est revenue devant moi et, satisfaite, a pris quelques clichés.
    
    Elle a apporté un flacon pulvérisateur et m’a embué pour donner une illusion de transpiration. Puis elle m’a pincé encore une fois le pénis, de l’extérieur de mon maillot de bain cette fois.
    
    — Je veux un plus grand paquet là-dedans ; essaie de la gonfler un peu si tu peux.
    
    Elle a fait tout cela d’une manière froide, professionnelle. Je n’ai pas eu l’impression qu’elle y mêlait le moindre sentiment. Sa main s’est attardée sur ma bite quelques secondes, et comme j’étais campé je voyais la chose gonfler sous mon maillot de bain et devenir obscène. Mais elle semblait aimer ça et elle a pris d’autres photos.
    
    Je dois dire ici qu’elle ne m’attirait pas du tout. Mais elle était mon seul réel client, et je n’ai pas pensé protester parce qu’elle m’a touché. Honnêtement, je ne savais pas si cela faisait partie du contrat ou si elle avait franchi une ligne. Je savais par contre que si j’étais une fille et elle un homme, je n’aurais pas toléré son comportement. Mais je suis un mec et je n’étais pas ...
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