1. Rencontre improbable (4)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SYL30, Source: Xstory

    ... cœur.
    
    Je remonte donc mon pantalon, quand, je me sens projeté au sol violemment.
    
    — Mais t’es un vrai bourrin. Qu’est-ce je t’ai dit ? (Tout en me bombardant de coups de pied)
    
    Je ne comprenais pas ce qu’elle attendait de moi.
    
    — Vire-moi ton calbut, un clébard ne met pas de slip. VITE VITE VITE. Ah oui ! Tu penseras à nous faire un double des clés de chez toi pour chacune d’entre nous. De plus, je veux, tous les jours, un rapport journalier sur tes activités du soir et du week-end. Allez, file te mettre tout cela dans la tête, interro, dans une heure.
    
    Vingt minutes étaient passées quand j’entendis son ordre: aux pieds et qu’ça saute ! Sans perdre un instant, je cours vers elle qui me gratifie d’un sourire satisfait.
    
    — File dans ma voiture et amène-moi le sac plastique qui est sur le siège passager.
    
    J’y vais en courant, lui tends. Elle l’ouvre et le vide sur le carrelage, c’était des slips de femmes et des chaussettes visiblement sales. Elle claque des doigts en me désignant mon pantalon puis tape deux fois des mains. En à peine quinze secondes, j’étais à quatre pattes, le pantalon baissé.
    
    Elle me tend la corbeille dans laquelle je dois mettre ce linge sale.
    
    — Tu ramasses tout cela avec ta gueule puis le laves dans le lavabo.
    
    Malgré un grand dégoût, je n’ai pas d’autre choix que d’obéir, le tout déculotté, humilié pourtant ...
    ... excité, ce qui me dut une série de coups violents sur la verge. Une fois tout cela terminé :
    
    Je n’ai pas entendu de remerciement.
    
    — Merci, maîtresse Barbara !
    
    — C’est tout ? (avec un sourire menaçant)
    
    — (En bafouillant) Je ne sais pas maîtresse Barbara.
    
    — Bon ! Je vais être gentille avec toi. Pour me remercier, tu me lèches les pieds.
    
    Elle était en basket, ça allait être horrible. Aussi jolis soient ses pieds, l’odeur est, elle, bel et bien dégoûtante.
    
    Nous allons être bien tranquilles pour que tu prennes convenablement conscience de ta nouvelle situation en attendant que le patron revienne de son stage parisien.
    
    — Tu fais quoi ce week-end ?
    
    — Madame Coline m’a...
    
    — D’un air menaçant qui, Madame...
    
    — C’est elle qui m’a dit de l’appeler comme cela.
    
    — Non, une maîtresse ne demande pas, elle ordonne.
    
    — Oui, bien sûr. Elle m’a ordonné de passer chez elle, samedi après-midi et pour dimanche, je ne sais pas encore.
    
    — N’oublie pas tout ce que je t’ai dit aujourd’hui, je n’aimerais pas être obligée de me répéter. Allez, fous-moi le camp Ducon.
    
    — Merci maîtresse, à lundi.
    
    — Je passerai peut-être te voir dimanche.
    
    — Oui, maîtresse.
    
    Ouf ! Que d’émotions encore aujourd’hui. Vivement demain que je puisse me présenter à Madame Coline en Sylvie ou plutôt en SISSY. En espérant qu’elle soit aussi douce que la première fois. 
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