1. COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (3/5)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Après avoir passé la nuit sur un matelas crasseux du squat où habite Yemba, nous avons mangé des croissants et il a souhaité m’entraîner chez moi.
    
    Chez moi où j'ai vu hier mon mari se faire sodomiser par notre copain.
    
    - Laisse ta voiture, il m’est impossible d’entrer et surtout d’en sortir, j’aurais l’impression d’entrer dans une boîte de sardines.
    
    Dépêche-toi, je veux éviter les contrôles de police, je risque l’expulsion en cas de contrôle.
    
    Je marche aussi vite que je le peux au point de perdre l’équilibre.
    
    Je trébuche sur mes hauts talons et quand Yemba me rattrape, le bruit de ma robe se déchirant sur l’arrière montre pour ceux qui sont bien dans l’axe, une superbe vue sur mes fesses rebondies.
    
    Mon amant enlève sa chemise et se met torse nu.
    
    Il me la place autour de ma taille.
    
    En l’enlevant, outre sa musculature impressionnante, c'est aussi le couteau dans son étui de cuir qui m’apparaît.
    
    Un frisson traverse mon échine, de peur que les choses tournent mal une fois chez moi.
    
    - J’ai vu que tu as regardé mon couteau, ton mec peut dormir tranquille, il sert seulement à faire peur ou à couper du saucisson comme hier au soir ou cette nuit.
    
    J’entre, Antoine est absent.
    
    - Je monte prendre une douche et changer de robe, j’en ai bien besoin.
    
    - Je peux aller dans la cuisine ?
    
    Je vais regarder ce que tu as dans le frigo, je suis un putain de cuisinier.
    
    - J’aimerais que chez moi, tu restes poli.
    
    - C’est drôle l’intonation que tu viens de ...
    ... prendre, elle me rappelle celle de la jolie pétasse qui m’a demandé de lui changer sa roue !
    
    Je croyais que les choses avaient évolué dans ma maison !
    
    Tu retrouves ton luxe et Yemba redevient un black comme un autre.
    
    - Espèce d’idiot, je crois qu’hier et cette nuit ta couleur de peau n’avait aucune importance pour moi.
    
    Pour calmer le jeu car il est vrai que je lui ai parlé un peu sèchement, je le prends dans mes bras sans arriver à faire le tour de sa taille.
    
    Je pose ma tête sur sa poitrine les yeux levés vers lui, je lui tends ma bouche qui nous réconcilier.
    
    - Va te laver, tu schlingues.
    
    - Tu parles toujours comme cela aux dames ?
    
    - Dégage sinon je te fesse.
    
    Vu ses mains baladeuses et vu le cul que j’ai à l’air, ayant récupéré sa chemise dès que nous sommes entrés dans le séjour, la claque qu’il me donne me dissuade de discuter plus longtemps.
    
    Je suis restée une demi-heure absente, car j’ai fait couler l’eau longuement sur mon corps et après un coup de sèche-cheveux, lorsque je redescends une surprise s’offre à mes yeux.
    
    - Alice, qui est ce gorille qui vient de m’attacher.
    
    - Mon amant, il m’a baisé toute la nuit comme une bête, ma chatte a été à la fête plusieurs fois, il est monté comme un taureau.
    
    - Demande-lui de me libérer, il refuse de me dire un mot et pourquoi il m’a agressé.
    
    Il est vrai qu’il a attaché les jambes d’Antoine avec les cordages du rideau qu’il a dû couper avec sa lame.
    
    Je vois Yemba venir près de mon mari et ...
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