Perversité de la fratrie (1)
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Paoyah, Source: Xstory
Je ne sais pas pourquoi je m’habille comme ça aujourd’hui, mais il fait chaud. Je lâche un soupir puis je me fais un chignon mal fait. Mon frère ne va pas tarder à m’apporter les outils dont j’ai besoin, pour justement continuer à réparer la clôture d’un couple d’amis. Je souris, l’idée d’être seul avec mon frère me rend toute chose. Ah oui, faut que je vous raconte un petit souvenir.
Quand j’avais la vingtaine, une époque où ma libido avait pas mal augmenté, car j’avais goûté au vrai sexe. Des partenaires qui savaient justement me donner de gros orgasmes. C’était l’été, et j’étais dans la piscine de mes parents avec mon troisième frère, Natai, comme d’habitude, on chahutait, mais en chahutant, je n’avais pas senti que j’avais un de mes seins qui commençait à s’enlever de son bonnet. On pouvait apercevoir le téton pointer. Évidemment mon frère n’est pas resté stoïque, et je peux vous dire que je sentais très bien sa bosse contre une de mes cuisses. Depuis ce temps-là, je n’arrête pas d’y penser, et souvent, quand je m’amuse toute seule, je pense à lui et à des choses perverses qu’il pourrait me faire, ça m’excite vraiment.
Je râle, car oui, rien que d’y penser, j’ai les tétons qui pointent et que l’interphone sonne, je lâche un soupir et je décroche, la voix de mon frère au bout
— Petite sœur, ouvre-moi, j’ai les outils que tu voulais !
Je souris, heureuse de le voir, car ça fait quand même un moment que je ne l’ai pas vu, appuyant sur le bouton
— ...
... Monte !
Je suis en minishort de sport, bon ça, il a l’habitude, ce n’est pas la première fois qu’il me voit comme ça, et un petit marcel blanc, il est un peu transparent, bon tant pis ! On verra bien sa réaction après tout. J’entends toquer à la porte et je vais lui ouvrir, je lui souris et viens m’embrasser sur le front, déposant les outils à l’entrée. Il enlève ses chaussures. J’ai vu ses petits coups d’œil, sur mes cuisses, mes fesses et aussi ma poitrine, mais je fais celle qui n’a rien vu.
— J’ai fait à manger, mange avec moi, on va aller dans le salon.
— Je te suis, tu es toute seule ?
Je me retourne et lui souris
— Oui pourquoi ?
Ma question n’était pas dans l’étonnement qu’il me demande, mais surtout dans la provocation.
— Non juste comme ça, vu que je sais que des fois, tu as des ami (e)s qui viennent, ou Sid qui n’est pas chez son copain.
Je continue de marcher jusqu’à la cuisine pour prendre ce qu’il faut et le plat que j’ai préparé
— Non, elle est repartie hier justement, et toi dans ton appart, ça se passe comment avec ton proprio ?
Je passe derrière mon frère et le frôle avec mes tétons pointés, oui je le fais bien exprès, mais justement, je veux voir sa réaction, et surtout ce qu’il ressent, moi je fais l’air de rien, prenant mon plat alors que lui se lave les mains et prend les assiettes et les couverts, allant mettre tout ça sur la table basse.
Pendant tout le long du repas, on a parlé de tout et de rien, oubliant même mon attirance pour ...