Apéritif
Datte: 31/01/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: byromane, Source: Literotica
... »
- Je ne le sais que trop bien. »
Je me sentis pas à ma place. Elle me regarda des pieds à la tête.
- Je dois dire que ma fille à bon goût. »
- Vous êtes absolument ravissante vous aussi. » lui dis je sans arrière pensé.
Ses cheveux auburn et défaits lui conféraient une allure de beau fauve, sa démarche souple et ses grands yeux noisette, striés de jaune et rehaussés par un habile maquillage, m'inspirèrent définitivement l'image d'une superbe panthère.
Elle sourit montrant que ma réplique lui plaisait. Je me détendis. Elle me désigna un fauteuil pour m'y asseoir. Elle continuait à me regarder comme une bête curieuse.
- Que trouvez-vous à ma fille? »
- Je... je... » balbutiai-je.
- Préférez-vous les charmes de l'adolescence à ceux de la femme mûre? »
- Pas du tout! Je... » Je ne savais pas quoi lui dire tellement je me sentais mal à l'aise.
Je n'aurais pas du venir.
Confortablement installée, la nuque appuyée contre le haut dossier de son siège, elle laissa planer sur moi un regard ambigu, doux et attentif à la fois, dans lequel je crus percevoir une perverse étincelle. Je me sentis excitée sous se regard.
Je la regardais, sans pouvoir dire un mot. Un moment je revis sa fille dans le même fauteuil, les jambes largement ouvertes, s'offrant à la masturbation avant que je ne lui prodigue un superbe cunnilingus.
Le visage de la mère revint. Elle me désigna le bar et me demanda si je désirais un apéritif. J'avais la gorge sèche. Je ...
... sentais mon string s'humidifier.
- Pas d'alcool, s'il vous plait. »
- Vous voulez garder la tête froide? » dit elle en souriant.
Elle était enfoncée entre les larges accoudoirs, le visage incliné, ses longues cuisses allongées, les chevilles croisées. Un pan de son kimono glissa, découvrant en partie ses jambes lisses qui avaient conservé un soupçon du hâle de l'été.
- Laissez-vous tenter? » proposa t'elle avec une moue irrésistible.
- He bien d'accord! » balbutiai-je, troublée, le regard braqué sur ses genoux superbes.
- J'ai une liqueur très légère et odorante que vous pouvez prendre en apéritif. Je ne l'offre que dans les grandes occasions, aux personnes qui plaisent vraiment. »
Sa voix s'était faite soudain plus rauque. Elle me regardait étrangement, les lèvres entrouvertes. Ses seins montaient et descendaient sous la soi rouge et fine. Je voyais distinctement la pointe de ses tétons. Quelque chose allait se passer.
- Je suis sûre que vous en raffolerez. » reprit-elle. « Me donnerez-vous le plaisir d'en accepter une larme? »
Elle avait mis l'accent sur le verbe « donner ». Pourquoi donner au lieu de faire? Je m'en doutais un peu mais préférais me voiler la face.
- Certainement », dis-je dans un ton rauque à mon tour.
Sans me quitter du regard, elle releva alors lentement l'un des genoux que je contemplais. Le kimono s'ouvrit jusqu'à la ronde hanche.
Je mouillais un peu plus, le cœur s'emballant.
Elle releva l'autre jambe, posa les deux ...