1. Un weekend bien chargé à décharger... (10)


    Datte: 31/01/2019, Catégories: Hétéro Auteur: jjc, Source: Xstory

    ... n’échappe à son torrent, du sommet de mon crâne à mon entrejambe, tout y passait. On avait eu des entraînements quasi hebdomadaires avant notre divorce, elle faisait donneuse universelle et moi receveur, on savait y faire elle et moi, dans ces deux rôles et inversement. Mais moi, j’en étais vraiment dingue de sa pisse, j’étais vraiment dedans, comme un malade...
    
    La source une fois tarie, Otavia a caressé mon ventre à hauteur de ma vessie de son pied gauche.
    
    — Tu penses que tu as aussi quelque chose pour moi ici ?
    
    Je me suis un peu plus allongé et elle a peloté mes couilles et ma bite, toujours du pied. Ensuite, pour s’assurer que je rebandais, elle a glissé son pied, gros orteil en tête, sous mes fesses vers mon anus.
    
    — Et ici, tout va bien ? Tu penses que ton cul va mouiller ? Tu te souviens que je peux y mettre tous mes orteils quand tu transpires bien du fion ?
    
    — Pour le moment, oui, il est trempé de toute ta pisse... ça doit bien glisser...
    
    En se tenant au crochet de la douche, du pied droit, elle est revenue sur ma vessie en appuyant plus fortement cette fois. Je n’avais pas encore pissé depuis le réveil et la pression devenait trop forte. J’ai vite lâché prise et j’ai entamé ma propre douche dorée. Après nos agapes de la veille, mon urine était fort odorante, très chargée, plus comme une bière ambrée qu’un muscadet... Ottavia s’est accroupie dans la baignoire pour prendre ma queue en main et diriger le jet vers sa poitrine et son ventre.
    
    — Humm, ...
    ... elle est bonne, elle est chaude... Si tu savais ce que nos séances dorées m’ont manqué, me dit-elle, tout en se caressant la poitrine qui dégoulinait de ma pisse. Mon mari n’est même pas foutu de me brouter la chatte, ajouta-t-elle, tu imagines !
    
    J’imaginais en effet sa traversée du désert depuis son mariage et me promis d’y remédier de toutes mes forces d’ici la fin du week-end.
    
    — La seule chose qu’il lèche, ça doit être ses doigts pour tourner les pages de son carnet d’adresses, dis-je un peu perfidement. Je parie qu’il ne s’est jamais foutu un doigt dans le trou de balle...
    
    — Ni dans le mien, je peux te l’assurer...
    
    — Je vais soigner ton état de manque ma salope !
    
    Je lui ai donc suggéré de se mettre à quatre pattes, son joli cul dans ma direction. Ce qu’elle fit sans se faire prier, sachant mon attachement profond à son trou de balle et à ma capacité à l’utiliser de toutes les façons possibles. Je me suis agenouillé et penché vers ses belles joues fessières que j’ai écartées des deux mains afin d’avoir une belle vue directe sur son œillet et m’en faciliter l’accès. Il me sembla un peu moins souple qu’au temps de nos agapes, ce que je mis sur le compte de son régime cul forcé, la pauvre n’ayant pas dû avoir souvent eu l’occasion de se faire ramoner le tuyau de poêle. Je me suis donc d’autant plus appliqué pour le préparer en le léchant et en tirant dessus avec douceur. J’ai joué de la langue pour essayer de l’introduire aussi loin que possible et lubrifier son ...