1. Dérapages. 08


    Datte: 18/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... fille en a des nausées. Mes doigts s'incrustent dans ses bras, l'immobilise. Une fois totalement à ma merci, ma queue à la lisière de ses reins, mes mains la tire rudement vers l'arrière, tandis que je me propulse en avant. L'empalant sur mon membre sans ménagement.
    
    - Ouuuuuuuuuuuaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeee!!!
    
    Avec une violence inouïe, je viens de la transpercer une nouvelle fois, mon pieu de chair brisant son anus en mille morceaux, déchiquetant ce qu'il restait de son orifice déglingué. En un éclair, cette souffrance que Jess voulait oublier refait violemment surface, elle jaillit, se déverse en dans son corps. La souffrance l'inonde vertigineusement, de son cœur qui la lance effroyablement jusqu'à ses doigts, ses orteils, sa tête, et même la pointe de ses cheveux. La déchirure désormais intégrale de son anus est intolérable, ma fille ressent comme des millions d'aiguilles chauffées à blanc trempées dans de l'alcool s'acharnant sur son trou du cul, alimentant à l'infini une douleur que Jess n'arrive pas à évacuer.
    
    - Ouah putain, elle est rentrée comme dans du beurre!
    
    Non, pas "comme dans du beurre", a envie de me hurler ma fille, plutôt comme dans cette morve que j'ai copieusement étalée dans son intimité anal, comme dans ce sang qui tapisse ses entrailles, comme dans ces reliefs de merde gluante qui n'ont pas eu le temps de s'échapper. Son corps se débat, Jess essaie de se protéger, mais la puissance de ma prise l'empêche de faire le moindre ...
    ... mouvement, mon enfant souffre le martyre sans pouvoir bouger. La douleur est insupportable, elle est elle, elle l'envahit jusqu'à ce que Jess ne soit plus remplie que de cette douleur distillée, extraordinairement pure et injectée à travers son cul dans ce petit corps innocent. Elle pense que je ne sait pas en fait le calvaire, oui, le calvaire qu'elle endure, il la détruit, il la tue. Mais je le sais, je sais ce que je lui fais endurer. C'est volontaire, c'est exprès mon esprit sadique ne se satisfait que de la souffrance de ma victime.
    
    La douleur aiguë du départ laisse maintenant place à une souffrance intense, Jess ressent vraiment cette chose là tout au fond de son corps,elle commence à respirer très très fort. C'est le moment que moi, son père, je choisis pour poursuivre mon opération de forage. Je lâche ses bras, je met mes mains sur son cou, je l'étrangle en la tirant en arrière pour la cambrer encore un peu plus. Maintenant que mon gland est passé, je pousse, je pousse, je pousse mon engin, je pousse mon engin millimètre par millimètre. Mon entreprise de démolition a commencé, faite de mouvements de sondages hasardeux, jusqu'à ce que je sente une faiblesse, poussant alors, comme un forcené pour la faire céder. Je me fraye alors un petit chemin à l'intérieur de son corps, je gratte, je déchire son trou de balle, je plante ma grosse bite dans son cul qui n'est pas encore adapté à recevoir ma difformité. Cinq centimètres, dix centimètres, où cela va-t-il s'arrêter? Je n'ai ...
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