Dérapages. 08
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... encore embués de larmes, Jess remonte son haut, baisse son pantalon de pyjama. Se dévoilant à moi, son corps de femme, uniquement couvert de son soutien-gorge, de sa culotte sage et de ses chaussettes roses. Jess pose un bras sur ses gros seins. Ma fille ose une main sur son entrejambe, comme pour soustraire à ma vue perçante ce que je connais déjà. Je la détaille avec appétit, je bave littéralement sur son corps, mon regard la caresse sournoisement et se balade sans permission sur ses galbes parfait comme le ferait un serpent. Mes yeux lui brûlent la peau, provoquant des soubresauts de peur, Jess n'est vraiment pas bien, ça ne va pas, ça ne va pas du tout. Elle cherche du regard une issue de secours, mais elle n'en voie aucune.
- Enlève tes chaussettes et ta culotte! Tout de suite!
Ses mains quittent à contrecœur les parties de son corps qu'elles tentaient vainement de masquer, et elle fait lentement descendre sa culotte.
- Oui, c'est ça, prends ton temps, prends tout ton temps, ça m'excite, une vraie petite strip-teaseuse, une Dita Von Teese junior!"
« Mais qu'est-ce qu'il raconte? » pense ma fille. N'y comprenant rien, elle ne cherche pas à discuter, elle retire ses chaussettes, et d'un geste dédaigneux, je lui intime l'ordre de retirer son soutien-gorge. Sa poitrine énorme et ferme, émerge du tissu en frissonnant, je n'en perd pas une miette. Jess pose son soutien-gorge à terre, à côté de ses pieds. Elle a à peine le temps de relever la tête ...
... que je suis déjà sur elle. Mes mains calleuses s'emparent de sa belle poitrine, lui broient les seins, les malaxent, les étirent, les pincent sauvagement comme si je voulais les réduire en bouillie. Les mauvais traitements de la veille les rendent beaucoup plus sensibles, et Jess hurle quand je vrille ses deux tétons en même temps. Une souffrance en stéréo qui fait bourdonner la tête de la jeune fille. Siffler les oreilles et vider les poumons comme jamais. Jess cherche de l'air comme un poisson hors de l'eau, la torture que je lui inflige l'empêchant de reprendre son souffle. Par miracle pour elle, je m'arrête juste avant qu'elle ne tourne de l'œil. Jess reste pantelante, le souffle court.
Je la lâche un instant, je m'écarte de ma fille, et la fait se retourner dos à moi. Je suis en arrêt, je me pourlèche les babines en regardant son trou du cul meurtri dont la rougeur écarlate creuse largement l'arrondi de ses fesses, le faisant ressembler à un entonnoir aussi profond que ma dépravation. Voilà que je pose mes mains sur son derrière maintenant. J'attrape fermement ses rondeurs, alors je la pousse avec force à plat ventre sur son lit, l'écrasant sur sa couette toute propre. Je prend ses fesses à pleines mains, les écrabouille, les maintient fermement puis comme pris de folie, je les sépare brutalement l'une de l'autre. Jess entends son anus se déchirer à nouveau, et un vagissement suraigu s'échappe de sa gorge, comme un cri de bête que l'on achève.
- ...