Dérapages. 08
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... l'enfoncer de nouveau, quand je sens que mon enfant se relâche imperceptiblement. M'offrant, à moi, son père malgré elle, un boulevard de viscères bien détendus. Voilà pourquoi, je m'enfonce à ce moment précis, pour lui faire le plus de mal, pour aller encore plus loin, pour perpétuellement revivre ses cris, ses hurlements de douleur qui me procure un plaisir fou, un plaisir immense, un plaisir sadique. J'atteins désormais des sommets d'inhumanité, en la torturant psychologiquement, profitant de chaque fléchissement de sa part pour la crever avec haine. Jess a peur, Jess panique, elle angoisse à l'idée que le prochain coup de boutoir sera pire que le précédent.
Puis, sans doute lassé de jouer, ou impatient de prendre mon plaisir, je précipite brusquement son exécution. J'accélère comme jamais je ne l'ais fais, rien ne me freine maintenant que c'est bien lubrifié, je n'en finit pas d'accélérer, comme une machine lancée à toute vapeur. La fréquence de mes coups grimpe vertigineusement, je suis complètement malade, on dirait que je veux carrément lui arracher tripes et boyaux. Comme si je voudrais que Jess ai des hémorroïdes toute sa vie. Je veux pousser sa souffrance jusqu'où? Mon enfant à maintenant des sensations de brûlure horribles, comme des plaies ouvertes tout le long de la paroi de son trou de balle, les chairs à vif. Jess jurerait que j'ai enveloppé ma bite dans du papier de verre, et que je la prend avec ça, râpant son canal à chaque va-et-vient. Des gouttelettes ...
... de sang aspergent sa couette, et finissent par former un tableau grotesque sur sa couette. Mais ça ne ne me touche même pas d'abîmer son trou du cul, de le déchirer, de voir en fait ces petites gouttes de sang le long de ma bite qui devient toute rouge, ça ne me fait pas tilter. Alors que je sais très bien que quand ça saigne, ce n'est sûrement pas bien. Son corps part en lambeaux. C'est atroce. Ça déchire, ça détruit, ça pourrit. Jess pense qu'elle va mourir.
- Oh putain, je sens que ça vient!
Dans un râle de plaisir croissant, accompagné de mouvements déments de mon bassin, ma fille sent en elle ma chose durcir, rentrer encore plus loin, taper plus fort, remonter plus haut, forcer plus violemment. Son rectum est haché menu par mon pilon, ses sphincters sont pulvérisés, son côlon anéanti, et je trouve encore la force de la bourrer comme une pute, une pute de vingt ans habituée à la sodomie par des milliers de sodomie, mais, qui en fait, n'en est qu'à la deuxième.
Jess est éperdue de douleur, et son esprit disjoncte à nouveau par instinct de survie. Elle a encore l'image de ce champ de blé en tête, et ma fille sait maintenant qu'il a été saccagé entièrement, qu'il ne reste plus le moindre épi debout, que tout le champ a été piétiné par ma démence, pour toute sa vie, pour toujours. Ma fille sait aussi que ça ne me suffit pas. Consumé par ma haine, je m'acharne sur les épis de blé couchés à terre, je les arrachent, toutes racines en l'air, je dépucelle férocement les ...