Les Vacances : deuxième partie - Histoires de Sexe

Les Vacances : deuxième partie

... allongés sur le dos avec un livre devant les yeux. Étant assis, nous avons une très belle vue sur leurs corps. Lui, semble assez petit, plutôt rond, mat de peau avec un sexe de taille correcte au repos, une petite touffe entretenue au-dessus. Elle, bronzée et huilée au monoï, je suppose. Elle a de jolis seins, petits mais avec de jolis tétons, bien dessinés. Sur le dessus de sa vulve se dessine un joli triangle de poils bien entretenu.

Je tourne la tête vers Marianne ; apparemment, je ne suis pas le seul à mater nos voisins.

— Alors, chérie ?
— Quoi ?
— Tu profites de la vue ?
— Oui. Je trouve que cette femme a une très belle poitrine. On voit de plus en plus de femmes avec des seins énormes dans les pubs ou sur les magazines. Elle, ses seins sont bien dessinés et en harmonie avec le reste de son corps.
— C’est vrai, tu as raison. J’avais remarqué aussi.
— Bah, ça va, ne t’embête pas, me dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

Je souris.

— On va piquer une tête avant de manger ? Et si dans l’après-midi, les vagues grossissent un peu, on se mettra à l’eau ?
— Oui, super !

On se lève de nos serviettes et courons comme des gamins pour arriver le premier dans l’eau. Je regarde ma femme : sa poitrine et ses fesses se balancent à chaque foulée… j’adore le corps de ma femme. On profite de l’océan et des petites vagues. J’espère que ça va grossir un peu cet après-midi. On se rapproche et on s’embrasse. L’eau est fraîche ; mais malgré ça, le contact de ses seins ...

... et de sa peau me fait réagir.

— On sort ? me demande-t-elle.
— Attends un peu.
— Pourquoi ?
— À ton avis ? lui dis-je en souriant.

Elle glisse une main sous l’eau en direction de mon entrejambe.

— Ohh bah, dis donc, je te fais de l’effet, mon chéri ?
— Bah oui !

Elle se frotte alors encore plus contre moi ; ses seins sont durcis par la température de l’eau et ses tétons bien droits.

— Allez, viens ! Ne fais pas ton timide.

Elle me prend par la main et me tire hors de l’eau. Je regarde mon sexe en sortant : j’ai en effet une petite gaule. Un peu gêné, je me cache comme je peux avec mon autre main et on court vite jusqu’aux serviettes. En remontant, je remarque notre voisine qui regarde notre retour, discrètement derrière ses lunettes de soleil. Elle est sur le dos, appuyée sur ses coudes. En même temps, on remonte juste en face d’elle ; je ne vois pas comment elle ne pourrait ne pas nous voir. Malgré ses lunettes, je vois bien qu’elle est restée fixée sur mon sexe qui n’a pas perdu de sa vigueur en sortant de l’eau. Je la regarde alors et lui souris. Elle me sourit en retour.

De retour sur nos serviettes, on s’assoit l’un en face de l’autre en tailleur.

— Tu as vu ?
— De quoi ? La voisine ?
— Oui ! Elle a bien maté ma queue, quand même.
— Et alors ? Ça ne te plaît pas ?
— Si, mais bon… Tu l’as fait exprès en fait, de m’exciter un peu dans l’eau, hein ? Tu voulais voir sa réaction ?
— Peut être… me fait-elle en souriant.

On s’installe alors un ...