Vacances à la Grande-Canarie (5)
Datte: 30/01/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... hein ?
— Oui, c’est boon, j’ai jamais eu une queue pareille en moi.
— T’en avais envie cochonne ?
— Je me suis branlée les deux dernières nuits en y pensant.
Évidemment les paroles sont plus décousues, entrecoupées de gémissements qui nous excitent terriblement.
— Elle coule mon chéri ?
— Elle est chaude et étroite, sa mouille me coule dessus, j’adore.
— Attends je veux goûter
Je ressors un peu ma queue, juste la place pour laisser Aline mettre un doigt puis le ressortir, le goûter et me le tendre, je suce, je lèche son doigt gluant de la mouille d’Elodie et de sa propre salive.
— Elle a vraiment bon goût hein ?
— Délicieuse.
— Je vous aime...je monte avec ...vous... fort...fort
— Attends ma chérie, il va te la mettre fort.
Je me retire de la chatte brûlante : Nooon, reviens..Gémit la propriétaire.
Aline la fait se tourner sur le ventre, se mettre à peu près à quatre pattes sur l’oreiller, je me place bien derrière elle puis, Aline se colle derrière moi, place ma queue devant l’entrée et me pousse de tout son corps en me tenant par les hanches.
— Ouuuuaaaah c’est booooon gémit notre amante.
Je me suis enfoncé d’un coup puissant dans la chaleur d’Elodie et Aline son souffle dans mon oreille ne cesse de me dire : Vas-y, vas-y bourre la salaud, défonce lui la chatte, je veux qu’elle prenne un pied énorme.
Elodie bouge la tête dans tous les sens, son visage est en sueur, elle est vautrée sur le ventre et je donne de grands coups ...
... de queue dans sa chaleur, son vagin est brûlant, sa mouille dégouline le long de nos cuisses et je me lâche totalement moi aussi encouragé par les : Encore ! Encore ! des deux femmes. Je m’enfonce à fond dans sa chatte, serrant ses hanches entre mes mains, je sens bouillonner en moi
— Je vais jouiiiiir crie Elodie
— Jouiiiiis lui répond en écho Aline
— Je viieeens ! fais-je à mon tour avant d’exploser dans sa chatte. Je sens ma queue gicler , gicler encore et toute l’accumulation de la journée explose en feu d’artifice.
Comme un jeu de domino on s’écroule les uns sur les autres, soudain épuisés.
Au bout d’un long moment je sens Aline me tirer en arrière et me faire basculer sur le côté, m’évitant ainsi d’écraser trop longtemps Elodie qui n’a pas bougé depuis son cri libérateur.
On reprend doucement notre souffle, nos corps alanguis, mélangés.
Cette fois c’est Aline qui se lève la première et nous cherche à boire. Nous récupérons plus vite qu’Elodie qui en est à trois orgasmes, elle qui se croyait frigide.
Nous le lui disons et elle en rit, preuve que cet épisode du à un amant de bas étage est bien oublié.
On se désaltère, on se nettoie rapidement avant de s’allonger à nouveau.
— Oh c’était bon, j’avais jamais joui, c’est vraiment génial, j’adore tout de vous, c’était..
— Pourquoi tu parles au passé, Aline te l’a dit, on en a pas fini avec toi, j’ai bien l’intention de te prendre encore.
— Mais tu peux une deuxième fois ?
Aline rit et lui ...