1. Folle soirée...


    Datte: 30/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... m’empêcher de réprimer un râle sourd quand elle l’a introduit dans la chaleur de sa bouche. Qui faisait une gaine exquise. Elle s‘est activé de ses lèvres pulpeuses sur ma verge. De plus en plus dure et de plus en plus grosse et pleine. Cela semble l’inspirer beaucoup, elle m'a aspiré avec application. Je me suis agité de plus en plus nerveusement sur le canapé.
    
    Elle a continué de me sucer avec une douceur qui me fit gémir doucement. Dans l’extase j’ai tendu mon bras pour glisser à nouveau ma main sous sa jupe et machinalement j’ai tiré à moi sa culotte. J‘ai pu enregistrer que son entrecuisse était inondé d’excitation.
    
    Quand je pense que j’étais la cause de cette mouille. J’en étais très fier ! J’ai porté la petite lingerie à mes narines. Inhalant longuement l’odeur de femme en rut qui en émanait.
    
    - Putain ! Je n’en reviens pas ! Fit-elle après avoir recracher ma verge. Un mec qui flaire ma culotte. Tu ne préférais pas mieux sucer mon minou. Ajouta-t-elle d’une voix rauque et une lueur salace dans ses yeux.
    
    -Pourquoi pas. Répondis-je.
    
    Elle me sourit et prestement prit position sur le canapé. Je me suis agenouillé entre ses jambes. J’ai ôté sa chaussure et j’ai posé mes lèvres sur la plante de son pied pour doucement arrivé jusqu’à sa cheville. Remontant le long de sa jambe. Sous l’effleurement, elle a frissonné. Ma tête a glissé sous la jupette tout en embrassant le haut de ses cuisses. J’ai sentis sous mes lèvres la chair de poule sur sa peau nue, au-dessus ...
    ... du bas. Ma bouche a cheminé à travers un système pileux soyeux, a trouvé l’entaille de la féminité, que j’ai remonté en un imperceptible effleurement jusqu’à l’infime protubérance du clitoris. Elle a eut un petit soupir rauque. Mes lèvres ont tourné sur le bouton de chair sans appuyer, dans une sorte de minuscule vibration. Elle a cambré les reins et sa respiration est devenue saccadé. Soudain elle m’a repoussé avec ses mains. Comme si je l’avais mordu.
    
    - Cela t’ennui que ma sœur nous vois faire l’amour.
    
    J’étais dans un tel état d’excitation que j’étais ouvert à tout. Et pourquoi pas à celle-là !
    
    - Pourquoi pas. M’entendais-je lui dire.
    
    Elisabeth ravie, s’est empressée d’aller chercher sa jeune sœur. Sitôt revenue elle prit la même place qu’elle avait quitté quelques instant plus tôt, alors que Claire a prit place sur le fauteuil.
    
    Quand ma bouche s’est posée sur l’intimité de sa sœur pour la seconde fois, elle a eut comme un léger sursaut. D’une langue veloutée j’ai remonté au ralenti entre ses lèvres de son sexe et j’ai atteins le point sensible. Elle s’est raidit et a laissé échapper un petit gémissement entre ses lèvres. L’extrémité de ma langue s’est mise à œuvrer avec habileté sur le clitoris. Elle a haleté. J’ai fait pénétrer mon index dans son vagin sous les yeux envieux de sa jeune sœur. Avec un râle, elle a écarté davantage les jambes. J’ai continué mon jeu subtil avec ma langue, alors que mes doigts entraient et sortaient de ses entrailles, de plus en ...
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