1. Sensuel Message Scribouillé


    Datte: 30/01/2019, Catégories: fh, couple, intermast, Oral pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Allonge-toi !
    
    Je sais ce qu’elle a dans l’idée, et je ne suis pas contre. À peine suis-je allongé, phallus bien érigé vers le plafond, qu’elle m’enjambe pour venir se positionner par-dessus ma colonne de chair. Elle s’affaisse littéralement dessus dans un grand soupir, s’empalant complètement et profondément. La sensation est très forte ; je dois serrer les dents pour me contenir !
    
    Elle me chevauche sans vergogne, agitant son bassin autour de mon pieu, se relevant pour mieux s’embrocher, déchaînée, vicieuse. Ses mains sur mon torse, ses ongles qui entrent dans ma peau, son cou tendu, sa bouche ouverte, ses yeux fermés, ses cheveux défaits, son corps qui tressaille, tout la tend vers une jouissance qui ne va pas tarder !
    
    J’agrippe ses seins lourds qui dansent par l’effet des secousses sous mes yeux. J’enfonce mes doigts dans ses masses tendres, faisant déborder ses chairs entre mes phalanges. Je sais qu’elle adore qu’on maltraite un peu ses seins quand elle est proche de la jouissance. Alors je ne m’en prive pas !
    
    — Ooooh ! Ah ! Hmmm !
    
    Elle se lance dans une longue mélopée. Excité par ses gémissements, projetant au mieux mon bassin, je la perfore tant que je peux tandis qu’elle se déchaîne autour de mon pieu de chair bien malmené. Ses ongles arrachent ma peau, mes poils. La tête lancée vers le plafond, elle grimpe les étages qui la mènent vers le plaisir, vers la jouissance.
    
    Soudain, c’est comme une fusée qui décolle : elle vibre, elle tremble, elle s’agite, ...
    ... puis dans un déluge de soubresauts dantesques elle jouit bruyamment en mille petits cris, indifférente à tout ce qui l’entoure, le monde pouvant bien s’effondrer. Ma femme s’envole intégralement pour des cieux totalement jubilatoires ! Tout son corps est tendu, élevé vers d’autres cieux, d’autres univers.
    
    Elle jouit, rivée sur ma queue malmenée, ses seins toujours agrippés par mes mains crochues et avides, tandis que je la contemple par dessous en contreplongée.
    
    Une puissante tension s’empare de son corps électrisé ; une ultime contraction, un dernier cri, puis sa tête, ses bras retombent. Elle est comme vidée, épuisée, repue, lasse. Elle flotte ainsi quelques instants avant de s’affaler sur moi, inerte, la respiration courte.
    
    ---oOo---
    
    Peu à peu, elle émerge tandis que je la berce dans mes bras. Elle s’étonne juste un peu d’être ainsi allongée sur moi. Alors elle roule sur le côté sans prévenir. Encore heureux que je n’étais plus raide en elle, je pense que j’aurais dégusté !
    
    — Eh bé…
    — Oui, ma chérie ?
    — Pfff ! Ça a été violent ! D’hab, on va moins vite.
    — Tu en avais envie, on dirait.
    — C’est de ta faute, toi et tes SMS !
    
    Je me contente de rire doucement. Je la laisse reprendre totalement ses esprits, ce qui ne m’empêche pas de la caresser afin de profiter au maximum de ses courbes ainsi que de la douceur de sa peau.
    
    Soudain, les yeux toujours fermés, elle demande :
    
    — T’avais déjà écrit quoi tout à l’heure ?
    — À quel sujet, ma pupucette ?
    — Te ...
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