1. Offerte en club


    Datte: 30/01/2019, Catégories: fh, 2couples, inconnu, fépilée, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral pénétratio, fsodo, entrecoup, Auteur: Yonidouce, Source: Revebebe

    ... ticket de métro et pas moi, mais ce soir-là personne ne le vit. Des voyeurs de plus en plus nombreux se masturbaient ouvertement devant elle et elle ne se gênait pas pour en caresser un ou donner quelques coup de langue à un autre, voire gober un gland imprudent sur lequel elle ne s’attardait pas.
    
    Mon mari continuait à me limer doucement, s’arrêtant souvent pour ne pas en finir trop vite. Les voyeurs commençaient à s’intéresser à nous. Il y avait deux ou trois gars près de moi qui se masturbaient. Moi, je n’en pouvais plus, je décidai d’imposer mon rythme et m’empalai sur le gros sexe de mon homme jusqu’au fond de moi puis me retirai jusqu’à sentir le gland au bord de mes lèvres. Je ne retenais plus mes soupirs. Ma bouche mi-ouverte devait émouvoir mes voyeurs car ils la prirent pour cible projetant plusieurs jets de sperme dans cette direction au moment même où je m’abandonnai à la jouissance. Quelques gouttes atterrirent sur ma joue. Je n’osai pas les recueillir ni les goûter comme je le ferais aujourd’hui.
    
    La fille en face jouissait également. Elle se leva, s’installa à genoux sur la table et depuis sa position vint m’embrasser sur la bouche avant de s’en retourner près de son amant en m’offrant un dernier sourire. C’était ma première sortie en boîte libertine. J’avais prévenu mon mari : « on regarde, on ne fait rien ». Raté !
    
    oo0oo
    
    Le lendemain, dégrisés mais l’esprit toujours libertin, nous avons reparlé de cette soirée. Mon mari, qui sait que je prends du ...
    ... plaisir à le faire jouir dans ma bouche, m’a demandé si je n’aimerais le faire avec d’autres hommes.
    
    — J’en mourais d’envie mais je n’ai pas osé, répondis-je.
    
    Il m’expliqua que, dans ce genre d’endroit, personne n’aurait trouvé à y redire. Au contraire, j’aurais fait des heureux. Je promis de ne plus jamais niaiser.
    
    Quelques temps après avoir découvert cet agréable lieu de débauche en banlieue toulousaine, je promis à mon mari de ne plus jamais m’interdire un plaisir gentiment offert. Mais au fond de moi, je me demandais si, par timidité, je n’avais pas exagérément érotisé ce premier rapport en public.
    
    N’aurais-je pas pris autant de plaisir à dévorer mon petit mari ? À essayer (en vain, toujours) de le prendre tout entier dans ma bouche, de l’enfouir en moi toujours un peu plus.
    
    Je l’aime tant. J’aime tant sa peau fine sur ce pieu si dur, le goût si doux et si épicé à la fois des fines gouttelettes qui s’en échappent. J’aime ce sexe au goût si prononcé lorsqu’il vient de me fouiller, qu’il est trempé de moi, je ne sais plus alors si je lèche mon amant ou si je me donne un plaisir solitaire, j’aime cette confusion.
    
    J’étais prête à retourner en club, prête à me laisser aller, disposée et heureuse d’y retourner.
    
    De retour en ce lieu, je me surpris à jouer les blasées, contente de retrouver l’ambiance, de reconnaître cette montée de la température. J’avais compris la leçon : une jupe et un chemisier suffisaient pour être chic et disponible.
    
    Ce soir-là, mon ...
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