Delilah Desire : Prologue + Chapitre 1 - Histoires de Sexe

Delilah Desire : Prologue + Chapitre 1

... ses terres. Je suis prête à me contenter du sud, du moment que ça inclut sa tour. Et puis, depuis le centre du duché de Nargulh, tu pourras plus facilement attaquer Arkstein… ajouta Delilah avec un sourire.
— Qu’est-ce qui te fait croire qu’Arkstein m’intéresse ?
— Je ne le crois pas. Je le sais. Quelques-unes des esclaves sexuelles que Nargulh t’a offertes ont eu une enseignante très efficace… Et tu sais que ces petites putes sont très fidèles à leur maîtresse… conclut-elle avec un clin d’œil.
— Tu es la plus grosse salope que j’ai jamais rencontrée ! dit Mazoku, hilare. Et j’adore ça ! Tu sais quoi ? J’accepte de m’allier avec toi, Delilah!

Celle-ci sourit.

— Tu ne le regretteras pas, Maz’. Nous pouvons être très puissants, ensemble…
— De quoi as-tu besoin, exactement ? D’hommes ? D’armes ? De sorciers ? De démons ?
— D’un peu de tout ça ! Et de plus. Je reviendrai d’ici une semaine, avec tous mes généraux. Prépare-toi. Il sera alors temps de parler stratégie.

Delilah commença à s’éloigner. Mazoku profita un instant de la nouvelle vue qu’elle lui offrait : son sublime cul rond et musclé. Puis il la héla.

— Où vas-tu, D ?
— Je rentre chez moi. Préparer mon armée. J’ai beaucoup à faire, et je ne peux pas m’absenter trop longtemps. Pas encore. Je ne suis maîtresse de guerre que depuis quelques mois…
— Alors il y a encore des choses que tu ignores… Comme le fait que tout pacte d’alliance doit être scellé par un échange de sang.

Delilah se retourna, ses ...

... lèvres serrées.

— Ou de tout autre fluide corporel… ajouta Mazoku avec un sourire mauvais.
— N’y pense même pas, espèce de démon dégueulasse ! Va te faire …
— Ferme-la, petite pute stupide ! hurla soudain le démon. Tu penses pouvoir faire la maligne avec moi ! Tu as bien plus besoin de moi que je n’ai besoin de toi !

Delilah savait qu’il avait raison. Mais elle ne pouvait accepter de se faire baiser par ce démon, pas à nouveau, pas maintenant qu’elle n’était plus une esclave sexuelle.

— Je ne veux pas, dit-elle, regardant ses pieds.
— Et moi, je m’en fous. Ras le cul de tes étudiantes. Je veux goûter à la prof.

Elle le regarda, silencieusement, et lui cracha soudain au visage. Sa salive coula sur ses traits écailleux, déformés par les cals et le cartilage qui couvrait son corps. Il sourit, avala le cracha d’une langue démesurée et rugueuse, et agita ses doigts pour faire signe à Delilah de venir. Elle vint.

— Bonne petite… dit-il en la mettant sur ses genoux, dos à lui. Bonne petite pétasse…
— Je ne veux pas, dit-elle, pleurant presque, furieuse et frustrée d’être traitée comme avant.
— Mais tu vas le faire quand même.

Il repoussa son manteau blanc, et son dard jaillit à nouveau, déjà gonflé. Il le frotta contre les fesses de Delilah, et sans prévenir, l’y enfonça d’un coup sec. Delilah hurla de douleur, son cri résonnant dans toute la forteresse tandis que du sang coulait le long du dard de Mazoku.

— Oh, putain, c’est bon… gémit-il, pressant et ...