1. La boulangère


    Datte: 29/01/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, intermast, préservati, pénétratio, Auteur: Rêveur80, Source: Revebebe

    J’habite un petit village, et j’ai pris l’habitude d’aller chercher mon pain au bourg voisin, distant d’une dizaine de kilomètres. Le pain y est bon et les vendeuses très sympathiques.
    
    Depuis quelque temps, j’ai remarqué un changement dans le comportement à mon égard d’une de ces charmantes dames, à qui on peut donner entre 45 et 50 ans. En effet, à chacune de mes venues, c’est-à-dire deux, voire trois fois par semaine, elle était de plus en plus souriante, s’arrangeant pour me servir et faisant de plus traîner la conversation.
    
    Il s’avéra en fait, après m’être renseigné, que c’était la patronne de la boulangerie. Liliane, puisque je la connais de « très près » maintenant, est une femme blonde aux longs cheveux ondulés, toujours maquillée à la perfection, et qui s’habille très simplement : chemisier blanc, jupe stricte noire et chaussures à hauts talons. C’est une femme assez discrète, très à l’aise avec la clientèle, et très bien proportionnée physiquement.
    
    Le mois dernier, mes deux baguettes à la main, je sortais du magasin pour reprendre ma voiture, garée à quelques centaines de mètres. Au moment d’entrer dans ma fourgonnette « C15 spécial chasse », une voix me dit :
    
    — Excusez-moi, monsieur !
    
    Je me retournai : c’était Liliane qui m’avait rejoint.
    
    — C’est difficile à vous expliquer, comment dire cela, j’aimerais vous voir ailleurs qu’à la boulangerie !
    
    Je fus un peu interloqué, mais cette proposition me plut tout de suite.
    
    — Euh… oui, si vous voulez, ...
    ... mais pourquoi ?
    — Je suis assez pressée, je vous expliquerai cela lors de notre rencontre. Je possède quelques meublés, un placement financier pour la retraite, et je voudrais vous rencontrer dans l’un d’eux, libre actuellement. Vendredi prochain à 15 heures, est-ce possible ?
    — Très volontiers, lui dis-je !
    
    Elle est vite repartie en ayant soin de me laisser l’adresse.
    
    ***
    
    Nous voici vendredi. Je suis posté devant l’immeuble de Liliane, situé dans une petite ville à une trentaine de kilomètres de sa boulangerie. Soudain, une grosse berline allemande arrive. Liliane est au volant. Elle en sort, et là, c’est l’extase…
    
    Elle était vêtue d’un pull rouge très moulant, d’une jupe noire comme à son habitude, mais cette fois-ci beaucoup plus courte et d’une paire de bottes en cuir. Elle était vraiment magnifique et très désirable !
    
    — Bonjour, je m’appelle Liliane, et vous ?
    — François !
    
    Elle me fit entrer dans un petit meublé très coquet.
    
    — Installez-vous, j’ai à vous parler !
    
    Elle s’assit face à moi, et commença à me raconter sa vie. En réalité, malgré sa vie confortable et aisée, elle n’était pas heureuse. Son mari ne s’intéressait plus à elle depuis longtemps, l’ignorait quasiment. Il n’y avait que le boulot qui comptait.
    
    — Pourquoi m’avez-vous confié tout cela, et surtout pourquoi moi ?
    
    Liliane rougit, et me répondit, gênée :
    
    — Depuis le temps que vous venez au magasin, je vous ai trouvé sympa, agréable et bel homme ! Et comme j’avais envie de ...
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