Chinoiseries
Datte: 29/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Hds
... la cravache faite de cuir tressé mince et souple, la claquette de cuir d'environ 5 centimètres s'abattit sur ma croupe frémissante. Je sentis la languette me caresser doucement chaque fesse, Victor se servait de la cravache, comme je l'avais suggéré. Avec une adresse diabolique, le cuir glissait sur ma peau sans trop me faire mal... Mais les coups se rapprochaient. Je gémissais de plaisir à chaque impact, il passa devant moi.
« Elle a une chatte superbe, ne trouvez-vous pas Messieurs ? »
En disant cela, il passa le bout de la cravache sous la lanière de mon porte-jarretelles à hauteur de mon bas, et le remonta lentement le long de ma cuisse, puis le dirigea vers la fente de mon sexe, et titilla mon clitoris. Le bout de cuir continua son ascension, faisant plusieurs fois le tour de mes aréoles, frôlant les bouts turgescents de mes seins qui pointaient hors de la nuisette. Il dirigea ensuite la claquette sur mes épaules et repoussa les ganses des fines bretelles sur mes épaules à la naissance de mes bras.
« Il va falloir que tu les dénoues avec tes dents, pour que ta nuisette tombe toute seule... Tant qu'elle ne sera pas à tes pieds, je frapperais tes seins et tes mamelons... »
Le premier coup tomba, assez fort... Je le regardais en souriant, il frappa l'autre sein... Puis un déluge de petits coups s’abattit à tour de rôle sur chacun de mes tétons. Ma poitrine se tendait vers la
cravache... Mais, au bout d'un moment mes mamelons et mes seins durs comme de la ...
... pierre commençaient à me faire un peu mal. Je réussis avec mes dents à dénouer le nœud de mon épaule gauche.
« Bien, tu aimes ça, hein ??
- Oui, j'ai mal... Mais j'aime
- Alors ne te presse pas !»
Le temps que je réussisse à dénouer mon épaule droite, il me sembla que, sous les coups, mes seins avaient doublé de volume. La nuisette tomba sur mes chevilles. Les lèvres du vieux Victor effleurèrent ma chair durcie avant de se refermer sur mes mamelons en érection, il se mit à les téter goulûment et sauvagement, je geignais. Bien qu'il soit âgé, Victor avait l'art de faire naître la volupté chez moi. Ses dents mordillaient mes tétons turgescents, ses lèvres descendirent sur mon ventre et coururent sur ma peau frémissante. Puis il se recula, la manche de la cravache remonta lentement à l’intérieur de ma cuisse, je me cambrais, jambes à demi ouvertes, fixant langoureusement les deux spectateurs. Le bout de cuir glissa ente mes lèvres humides pour titiller mon clitoris. Puis Victor l'enfonça doucement entre mes parois vaginales après quatre ou cinq allers et retours le manche était abondement recouvert de cyprine. Il s'approcha du gros asiatique.
« Voulez-vous goûter Monsieur ? »
Tout en me regardant avec des yeux brillants de désir, celui-ci suça avec délice le manche gluant.
« Allez tourne toi... »
Victor quitta mes talons aiguilles, je me retrouvais sur la pointe des pieds. Je sentis la douce caresse de la languette de cuir descendre lentement le long de mon ...