1. Sexe et loyauté


    Datte: 29/01/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... affichait flegme et tranquillité. Il me fit un clignement d’œil. Plus tard il me souffla : « Faudra que tu te tapes cette pute. Elle suce et aime tout prendre dans le cul. » Il prêtait volontiers à d'autres ses maîtresses. Magnanime il aimait partager avec ses amis. Sur l'éventualité que sa femme put être jalouse ou offusquée de ses comportements, il balayait cela d'un revers de main et par ces mots : « De toute façon c'est elle la première qui l'a fait venir dans notre lit cette pute ! » Bref Annie était en première ligne, la débauchée. Lui fermait la marche.
    
    Cette nuit je fus un peu triste pour Annie. Je voyais le moment où on me proposerait de sauter la blonde. Je n'étais pas sûre qu'Annie apprécierait. Comment pourrais-je me défiler alors ? Le lendemain je fus accueilli du magnifique sourire d'Annie. J'en fus sincèrement surpris. Elle ne me faisait plus la moue. Je crus au tout premier instant qu'elle se moquait et cachais derrière quelque perfidie. Elle tint à ce que je fis les courses avec elle. Elle n'avait cure de laisser les deux autres dans notre dos faire ce qu'ils voulaient notamment des cochonneries. Elle était fort séduisante.
    
    Nantie de sandales noires d'été à talons hauts, d'une minijupe de cuir mauve et d'un petit débardeur sans manche grenat exaltant ses petits seins, elle escomptait sûrement attirer les regards des mâles en faisant quelqu'essai sur moi. J'eus du mal à dissimuler mon vrai émoi. Ce qu'elle prit bien et sans ménagement. Je la voyais, ...
    ... heureuse, sûre d'elle. Libre fauve sur sa route. Assurément elle ne se contraignait plus loin de son mari voire de son amie. Je remerciais la providence d'être le témoin de ce spectacle. Bientôt je lui avouais sans ambages que je la trouvais belle. J'eus droit à son sourire.
    
    Elle avait mis un point d'honneur à prendre sa voiture et à m'infliger une conduite sportive pour ne pas dire dangereuse. Mes crispations la réjouissaient. Je protestais tant bien que mal que la vitesse ne m'indisposait pas. Je n'en glissais pas moins cette question perfide : « Y-a-t-il des gendarmes dans le coin ? » Accélérant elle eût temps de crier : « De toute façon j'ai comme bon ami, un capitaine de gendarmerie ». Elle me signifiait par là que celui-ci était de ses amants. Décidément rien ne semblait en ces instants l’atteindre. Plus que jamais je la désirais et voulais la posséder.
    
    Nous fîmes les courses dans l'allégresse. Je n'étais pas peu fier d'accompagner cette jolie femme et que nombre m'en crurent l'heureux conjoint. Nous bûmes un verre à une terrasse de café. Là cuisses croisées et s’adonnant au jeu à peine innocent du dangling elle allumât autour impunément. Je lui fis observer qu'elle avait le pied mignon et qui ne manquait pas d'exciter autour. Elle dit : « Dois-je te compter alors au nombre de ces excités ? » Je répondis d'un sourire franc. Le pastis me montant à la tête au retour, je matais maintenant sans retenue ses cuisses. Je ne me cachais plus.
    
    Peu avant d'arriver elle tint à ...
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