1. Les malheurs de Clotilde Ch. 03


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... moi, et de nouveau un pénis force mon corps. Il prendra son temps. Si j'en avais eus la force, j'aurais hurler tant il me fait mal, mais je n'en ai plus la force. Je le subis, simplement. Grognant un peu quand la douleur devient insupportable. Et je vais grogner souvent. Surtout qu'il jouira plusieurs fois en moi. Sans sortir, sans se retirer. Reprenant ses coups de reins après avoir fini de me remplir. Il n'a même pas besoin de se lever pour prendre une de ces maudites pilules sexe-dur, il a mit deux boîte en bas du canapé.
    
    Il a dut jouir une dizaine de fois en moi, avant de changer de tactique. Il me viole, et au moment où son éjaculation arrive, il se retire rapidement. Jouissant sur mon sexe, mon ventre, mes seins ou mon visage. Il dure et il dure. Je crois que parfois je m'endors ou je m'évanouis, je ne sais pas trop. Il me réveille en me mordant méchamment un sein, ou en pinçant mon clitoris. Plusieurs morsures ornent ma poitrine, s'ajoutant aux marques de doigts qui mettront plusieurs jours à partir. Mon entrecuisse est couverte de bleu.
    
    Puis je me remets à hurler. A force d'être violée, mes chairs interne son brûlées, à vif. C'est sûrement dut au frottements des sexes. Quand je dis hurler, le mot est fort, tant je suis vidée de toute force. En fait, je grogne continuellement de douleur, ce serait plus exact.
    
    Puis de nouveau, Meyer ne sort plus de moi. Me violant sans ...
    ... fin, cessant ses coups de reins que pour éjaculer et remplir mon utérus. Si après cela je ne suis pas enceinte, je ne le serais jamais plus. Je suis tellement abattue, détruite, que même l'idée d'être enceinte de ce viol ne me révolte plus. Comme je peux tomber aussi bas?
    
    Alors pour fuir tout cela, je me contente de fixer le lustre au plafond. Me vidant l'esprit de toutes pensées. Meyer continue de violer mon corps mou, comme abandonner par mon esprit. Je le laisse me martyriser, lui offrant mon corps. Qu'il en fasse ce qu'il veut, moi je n'en peux plus.
    
    C'est la voix de Greg qui me fait un peu revenir à moi. Quoique je n'ai même pas la force de bouger la tête. Je bouge juste mes yeux vers lui, tandis que Meyer s'agite encore entre mes cuisses.
    
    - Putain, Meyer, tu la baise encore?
    
    - Oui, elle est trop bonne cette pute!
    
    - Je vois ça, il est dix-huit heures, ça fait neuf heures de suite que tu la prends cette pute!
    
    - Merde, le temps passe vite avec elle. Cette chienne est encore aussi étroite que la première fois.
    
    - Tant mieux, quand tu as finis, je prends ta place, et on la laisse se reposer un peu. Je la veux vive pour la suite.
    
    - OK Greg, OK.
    
    En effet, dès que Meyer à jouit pour la énième fois en moi, Greg prends sa place. Heureusement il ne jouit que une fois en moi, avant de se retirer. Enfin ils me laissent tranquille. Aussitôt je sombre dans l'inconscience. 
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