L'Acheteur (4) - Histoires de Sexe

L'Acheteur (4)

... verre. Du Rhum ambré elle devrait aimer. Elle a retiré son manteau et de l’eau a imbibé son chemisier, ses tétons pointent à travers et son buste est trempée comme si elle n’avait pas de manteau. Elle s’enfile le verre cul sec et le dépose sur la table basse.

Je suis adossé à l’îlot de ma cuisine alors qu’elle déboutonne sa chemise. Elle la laisse tomber le long de ses bras et se retrouve face à moi, ses seins parfaits à l’air. Elle baisse ensuite le zip de sa jupe et la laisse glisser le long de ses jambes galbées, rien non plus sous la jupe, une chatte en ticket de métro. Elle n’a plus que ses talons qui claquent sur le carrelage quand elle s’approche de moi. Ma queue est droite dans mon caleçon et déforme mon pantalon. Elle s’accroupit et baisse mon froc.

Elle lèche les boules tout en branlant la tige. Sa bouche englobe ma queue et elle me pompe avec force.

Je la soulève et la poste sur l’îlot de la cuisine, je la pénètre instantanément. Sa bouche s’ouvre en un O de stupeur quand elle sent la grosseur de mon sexe. Elle s’allonge sur l’îlot pendant que je continue de la baiser, mes couilles claquent sur le rebord de la cuisine et je sens sa chatte serrée comprimer mon chibre. Je lui pince les tétons alors que son visage vire au cramoisi. Sa main se caresse le clito et elle me susurre de l’étrangler. Je passe ...

... mes mains autour de son cou et je vois la couleur de son visage tourner au violet alors que j’accentue la pression. L’excitation m’envahit et je lui bourre la chatte au maximum. Elle met ses mains sur les miennes pour que je desserre mon emprise alors que je sens ma queue se contracter et balancer des giclées de foutre. Mes mains se décrispent petit à petit et le visage de l’intérimaire reprend sa couleur blanc pâle. Ses jambes écartées laissent filer mon sperme qui coule au sol en un plic ploc sonore.

Elle semble dans les vapes et trottine jusqu’à ses fringues mouillées. Je lui fais passer une tenue pour qu’elle puisse rentrer chez elle et lui claque la porte au nez.

5h30, réveil, café, Vacheron Constantin, Porsche, Bureau... l’intérimaire n’est pas là ce matin, premier faux pas au deuxième jour, il va falloir que je pense à le dire à Jean Claude. Alors que j’étudie différents rapports l’accueil m’informe de l’arrivée de deux visiteurs non prévus.

« Qu’ils prennent rendez-vous... » je m’apprête à raccrocher quand je me fige en entendant les paroles de la standardiste.

Je descends vers l’accueil. Les deux policiers m’attendent et m’informent de mon arrestation en me passant les menottes.

« Appelez mon avocat » est la dernière chose que j’ai le temps de dire avant de passer le tourniquet et de quitter le siège.