1. NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie AMAL


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Anal Humour Première fois Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... quitté d’une semelle, ce soir là. Et puis cette salope de Nawal est entrée dans ta vie et t’a éloigné de moi. J’en ai beaucoup souffert et j’en ai voulu à Nawal et je lui en veux encore aujourd’hui, même si au fond de moi, je sais que ton aventure avec elle a eu des répercussions heureuses sur elle et sur maman. Mais je lui en veux encore pour tout l’amour que tu lui as donné et de celui que je sens encore en toi quand tu parles d’elle. J’ai encore peur aujourd’hui qu’elle revienne et te séduise encore. Elle est tellement belle et expérimentée !
    
    - Moi lui répondis-je, ému jusqu’aux larmes, ce n’est pas Nawal qui me gène. Pour nous deux l’histoire d’amour est terminée ; il ne reste que de la tendresse, parce qu’au fond, elle est très différente de la fille vulgaire et provocante dont elle avait toujours donnée l’apparence. Elle est très sensible et peut être d’une gentillesse absolue, quand elle trouve les conditions de son épanouissement. Regarde comment elle se comporte avec son fils et même avec son mari. Elle a réellement changé. Et puis il y a autre chose qui nous rassemble elle et moi, notre fils. Tu sais que son fils est de moi, n’est-ce pas ? Nawal, n’est pas pour toi et moi un problème. Le seul vrai problème c’est ta maman. Je suis sûr qu’elle prendra très mal l’amour qui nous lie. Et elle aura raison ! Elle a été ma maîtresse et mon amoureuse pendant longtemps et je suis sûr qu’au fond d’elle, elle a la nostalgie de nos moments d’amour et de bonheur. Tu sais ...
    ... que je l’ai aimée sincèrement et que j’ai vraiment souffert de notre séparation. Je ne peux pas décemment la remplacer par sa fille. Je mets entre parenthèse l’épisode Nawal qui n’a été qu’un heureux accident. Mai avec toi, c’est d’amour qu’il s’agit, pas de cul ! Comment feras-tu comprendre à ta mère, dont tu es la prunelle de ses yeux, que tu es amoureuse de son ex ?
    
    - Maman je m’en charge ! dit-elle presque avec colère. Dis moi seulement que tu m’aimes ou que tu vas m’aimer et tout le reste n’a pas d‘importance !
    
    Vaincu et tellement heureux de l’être, je la pris dans mes bras et l’embrassai avec la fougue d’un jouvenceau. Je plongeai mes yeux dans les siens pour y rechercher la preuve qu’elle m’aimait réellement ; ils étaient si profonds et si pleins de tendresse, que plus rien ne compta plus pour moi. Je lui pris la tête entre les mains et appuyai ma bouche contre la sienne avec dans l’idée de lui donner un baiser doux et tendre ; un vrai baiser d’amoureux. Elle commença par me rendre mon baiser de la même manière que moi je le lui donnai et puis rapidement il dérapa vers un baiser torride d’amants.
    
    Je lui pris sa grande bouche dans la mienne et lui suça goulûment ses lèvres charnues. Elle se laissa faire un moment et voulut me rendre la pareille : elle prit elle aussi mes lèvres dans a bouche et les suça en avalant ce qu’elle pouvait avaler de ma salive. Nous reprîmes un peu notre souffle et nos bouches reprirent possession l’une de l’autre. Je la forçai avec ma ...
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