NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie AMAL
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
Anal
Humour
Première fois
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... partait en formation en Angleterre pour une autre période de trois mois. Elle me disait cela d’une voix rieuse, cachant très mal sa joie.
- Merci ! Merci ! Merci, mille fois ! Je te revaudrai cela !
Sans même réfléchir, je lui répondis
- Fêtons cela ensemble au restaurant, demain !
Elle ne me laissa même pas le temps de réfléchir à la bêtise que je venais de prononcer et elle cria
- Oui !
Je fus le plus étonné des deux. Rapidement, je repris mes esprits, jaugeai la situation, me dis qu’il n’y avait rien de grave ni d’inconvenant d’inviter la fille de Nasima et la sœur de Nawal au restaurant. Je lui donnai rendez-vous le lendemain à midi au niveau de mon bureau (toujours pour éviter, les complications qu’une rencontre avec un homme pouvait lui créer au niveau du quartier où elle continuait d’habiter, car elle avait refusé de suivre sa maman dans sa nouvelle demeure).
Je passais le reste de la journée à penser à elle; à ce que je pouvais bien lui dire; aux sujets sur lesquels nous pouvions avoir une discussion suivie. Je ne trouvais rien. Je crois bien que la nuit j’ai rêvé d’elle. Le lendemain, contrairement à mes habitudes d’amateur de grasse matinée, je me réveillai aux aurores et me mit à penser à mon rendez-vous. Je me demandais si Amal en avait informé sa maman et comment celle-ci avait pris la chose. Je me demandais ce qu’elle-même pensait de cette invitation. Si elle la trouvait normale ou plutôt déplacée. Je me demandais pourquoi elle l’avait ...
... acceptée avec autant d’empressement. J’aurais aimé que Nawal m’appelle ce matin pour lui demander son avis. Je savais qu’elle m’aurait dit le fond de sa pensée, franchement et immédiatement. Je voulais lui parler de mon cœur qui battait la chamade quand je pensais à elle. Je voulais qu’elle me rassure.
Longtemps avant midi, j’étais devant mon bureau à l’attendre. Je discutais avec le gardien de service, quand elle arriva en taxi, à midi pile, belle comme un cœur, en costume bleu qui mettait en valeur, sans les accentuer, toutes les formes de son corps. Et des formes, elle en avait ! Elle avait vingt trois ans, mais paraissait plus mûre. Il n’y avait pas beaucoup de fantaisie dans son habillement. Tout était simple et classique. Même sa coiffure était simple : ses cheveux châtains foncés, coupés à hauteur des épaules, étaient coiffés sagement et lui recouvraient les oreilles. Une mèche rebelle venait de temps en temps lui couvrir un œil. Elle la remettait en place d’un élégant mouvement de la main gauche. Elle respirait la bonne santé : ses joues étaient roses comme si elles avaient été exposées longtemps à une brise froide. Sa grande bouche appétissante était entourée de belles lèvres pleines, que soulignait un simple trait de crayon marron clair. Ses grands yeux rieurs de couleur noisette n’étaient pas maquillés ; ils n’en avaient aucunement besoin.
J’allais à sa rencontre, lui pris les deux mains, y déposai un très léger baiser sur chacune d’elle et lui pris le bras pour ...