1. NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie AMAL


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Anal Humour Première fois Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... De temps en temps d’ailleurs, il lui arrivait d’avoir le dessus et d’aller cogner légèrement sur l’hymen, avant que la main ne le ramène à la raison. C’était un merveilleux combat qui nous amena tous les deux au bord de la jouissance.
    
    Je ne voulais pas jouir maintenant, craignant la grossesse. Je me retenais du mieux que je pouvais, c'est-à-dire très difficilement, ayant laissé la direction de la manœuvre à ma mie. Elle, encore novice à ce jeu, ne se doutait pas de la difficulté que j’avais à me retenir. Elle continuait à manœuvrer mon gourdin d’une main de plus en plus experte, ayant fini par trouver le rythme qui lui convenait le mieux. Au bout d’un moment je la voyais qui commençait à avoir le regard qui se voilait progressivement, la bouche qui s’ouvrait, tous ses muscles qui se tendaient et le souffle qui devenait de plus en plus court. Elle explosa d’un coup en déchargeant sur le gland de mon sexe et sur sa main. Elle s’était mise à gigoter très fortement m’amenant à éloigner le sexe de l’entrée de son vagin pour qu’il n’y pénètre pas par accident. Le retrait du sexe la contraria quelque peu, elle le remplaça par son doigt avec lequel elle continua de se caresser jusqu’à avoir une deuxième jouissance. J’étais content d’avoir pu résister à la tentation d’un dépucelage accidentel.
    
    Je voulais avoir le plaisir de la déchirer et de lui faire aimer cela. J’ai en moi, très profondément ancré, le fantasme du dépucelage et du sang des vierges. Probablement un atavisme ou ...
    ... un gène barbare hérité des temps anciens. Mais le dépucelage d’une vierge a toujours été pour moi le must de l’érotisme. Et Amal, mon superbe amour de vingt trois ans, était encore vierge et m’offrait son hymen en cadeau. Je lui dis que j’étais heureux qu’elle soit encore pucelle et qu’elle me faisait cette nuit le plus beau cadeau qu’une femme pouvait faire à l’homme qui l’aime. Elle eut un sourire de femme heureuse de donner du bonheur, mais ne dit rien. Je lui dis que j’allais maintenant la pénétrer et faire d’elle une vraie femme ; ma femme !
    
    - Comment veux-tu que je m’y prenne : en douceur pour te faire le moins mal possible, mais avec une jouissance tout juste acceptable ; ou alors comme moi je le veux en te faisant mal, mais en transformant rapidement la douleur en plaisir très fort .
    
    - Ce qui te fera le plus jouir ! répondit-elle.
    
    Je lui dis d’ouvrir le tiroir de la table de nuit à côté d’elle et d’en retirer la boite à préservatifs qui s’y trouvait. Je lui dis que je ne voulais pas qu’elle tombe enceinte pour le moment. Elle prit la boîte me la donna, j’en retirai un préservatif, déchirait la protection et le lui donnai pour qu’elle me l’enfile. Encore une chose qu’elle n’avait jamais faite et qu’elle fit avec délectation. Je l’embrassai très tendrement et très longuement pour la détendre, sentant en elle une crispation due à la crainte de la douleur. Je la fis s’allonger sur le dos, les genoux repliés sous ses cuisses que j’écartai au maximum. Elle se laissa ...
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