1. Les aventures avec ma salope de belle-mère (Suite 4)


    Datte: 27/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... quelques caresses et baisers.
    
    À cet instant, je vins les rejoindre au salon et m’installai au côté de ma belle-mère. Elle me prit par le cou me parla à l’oreille puis nous nous sommes s’embrassés à pleine bouche de longues minutes, elle me massait les épaules et le torse et moi je lui triturais les fesses. Adèle voyait nos langues tourner l’une contre l’autre, je passai sa main sur le corsage de Sophie lui caressai le sein. En réponse, elle mit la sienne entre mes jambes en me massant délicatement les testicules par-dessus mon pantalon. Nous ne s’occupions plus de ses hôtes qui étaient observatrices et devinrent très vite excitée par la situation. J’avais même déboutonné le chemisier et pris de ses deux doigts un téton qui grossissait à vue d’œil, tandis de Sophie continuait ses caresses à travers mon pantalon, que l’on voyait enfler à travers le tissu. Après nos caresses, Sophie reprit la parole :
    
    — Qu’en avez-vous pensé les filles ?
    
    Adèle et Justine se regardèrent et dirent en même temps :
    
    — C’était très excitant.
    
    Justine devait se sauver, elle avait pris congé malgré elle, mais elle avait trouvé cette situation bien étrange et très excitante, elle avait apprécié. Sophie voulant que je soigne et libère son amie, nous avait laissé et était partie raccompagner Justine. Je m’étais donc retrouvé seul avec Adèle, c’était une femme de 43 ans, légèrement enrobée mais avait des formes agréables, sa poitrine généreuse, ne demandait qu’à être caressée, ses fesses ...
    ... rebondies et fermes n’attendaient que des mains d’un homme qui sauraient lui pétrir. Elle avait un très joli visage, avec une belle chevelure ondulée. Elle s’était mariée avec le Boulanger du village. elle reprit la parole :
    
    — C’était étrange, j’avais très envie de participer mais je ne savais pas comment m’y prendre ?
    
    — Tu vois, c’est simple, il faut se laisser aller au plaisir et ne pas avoir d’aprioris.
    
    — Je ne sais pas, tu es si jeune. Lili sait que tu couches avec sa mère ?
    
    — Non ! C’est notre secret.
    
    Je vins me mettre debout derrière elle et commença à lui caresser ses épaules puis la partie visible de la peau de son décolleté, puis me penchai et l’embrassai. Adèle eut un léger recul mais avait sorti sa langue pour répondre à mon baiser. Sans s’en rendre compte, avec ce qu’elle avait vu et en parlant ainsi de sexe, elle commençait à être très excitée, lorsque notre baiser prit fin, elle s’excusa.
    
    — Arrêtons-nous là, s’il te plait, je n’ose pas aller plus loin.
    
    Je ne répondis pas et continuai mes caresses mais cette fois mes mains étaient à l’intérieur de son corsage, ses seins étaient gros, ses tétons s’étaient durcit, je sentais qu’elle appréciait car elle écartait les bras afin que je puisse accéder sur toute la partie ventrale de son corps. Elle fermait les yeux et poussait de tous petits gémissements. Mes mains étaient descendues sur son ventre, mes doigts arrivaient à la hauteur de l’élastique de sa culotte, elle s’appuya sur les pieds afin de se ...