1. Les vacances 15: Je me demande s’il ne faut pas être une cochonne pour devenir infirmière


    Datte: 27/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... Rapidement une première giclée est ejectée, elle est tellement puissante qu’elle dépasse la table et vient s’écraser au sol. Elle essaye de me sucer mais elle gigote tellement qu’elle n’y arrive pas.
    
    Quelques instants après un autre jet sort, il est moins puissant et mouille ma table en bois. Plus rapidement une troisième giclée sort et pendant que je continue de la branler elle ne gicle plus mais coule en continue. Une vraie marre se forme sous son cul, j’ai l’impression que le robinet est impossible a refermer. Alors qu’elle me branle avec de plus en plus de conviction je la sens, finalement, s’assécher.
    
    C’est incroyable, comment peut elle passer de faire sortir une marre de son con a être totalement sèche. Mes doigts lui sont de moins en moins agréable alors elle me demande de les retirer et de venir m’assoir sur son sexe. Juste avant elle trempe ses mains dans sa mouille et me branle avec ses dix doigts trempés de sa jouissance.
    
    Je ne tarde pas à jouir et à lui asperger ses petits seins ainsi que son ventre. Même si je me suis totalement vidé, comme elle tout a l’heure, elle continue de me branler et me ...
    ... caresser les couilles. Je ramolli dans sa main pourtant elle continue ses mouvements. Pour la faire arrêter je me penche vers elle et l’embrasse langoureusement. Je sens mon sperme s’étaler sur nos deux corps alors que nos langues dansent l’une avec l’autre.
    
    Après être resté un moment ainsi, je me relève en la remerciant pour la consultation, elle me sourit. Je lui propose d’aller se doucher mais elle me répond:
    
    « Merci, mais mon mec aime que je sente le sexe quand je rentre à la maison. »
    
    On peut vraiment dire que je ne m’attendais pas à ça!
    
    Elle se rhabille alors que je reste totalement nu devant elle. Pour la raccompagner à la porte je m’entoure quand même de la serviette, on ne sait jamais qui peut être dans les couloirs. Je l’embrasse tendrement en regrettant de ne plus avoir besoin d’infirmière. Puis je retourne dans la salle de bain pour reprendre une bonne douche et pour la première fois depuis longtemps je n’ai pas besoin de protégé mon pansement.
    
    Je ne sais pas si j’irai jusqu’à remercier l’idiote qui m’a renversé mais elle m’a permis de vivre de belles aventures et en plus ce n’est pas fini…. 
«12...4567»