Une Famille en Or (6)
Datte: 27/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: K-ro, Source: Hds
... demande à Ber de tenir la promesse qu’il m’a faite hier soir. Il ne se démonte pas et embouche le gland de Nico, qui se laisse faire finalement assez volontiers, contrairement à ce que j’aurais pu penser. Ber évite de le faire jouir, pour nous le garder en forme pour la suite. Il essaie de se faire rendre la pareille, mais Nico hésite encore. Pour ne pas le brusquer, nous n’insistons pas et continuons nos ébats à quatre.
Un peu plus tard, il est en train de me prendre en levrette pendant que Valy lui doigte le cul tout en se faisant prendre par Ber. Ber se dégage et vient lui enfourner sa bite dans la bouche autoritairement. Cette fois, Nico le pompe enfin et lorsque Ber lui lâche tout dans la gorge, il s’étouffe un peu mais avale tout. Ça l’a tout de même excité car il décharge immédiatement dans ma chatte.
Samedi 16 février 1991
J’ai trouvé enfin du travail à Barcelo, chez un expert-comptable. C’est un vieux un peu strict, et j’ai une collègue de bureau très sympa, Florence, la trentaine. Nous faisons la journée continue, de 11H30 à 19H30. Comme ça, je peux faire la grasse matinée et faire un gros déjeuner avant d’aller travailler. Pour ce travail, je dois un peu étoffer ma garde-robe, et surtout des soutifs, car je ne pense pas que mon patron approuve le fait qu’on aperçoive mes seins nus à travers mes chemisiers. Comme je n’en ai pas, c’est l’occasion de descendre à Marseille.
J’y vais seule, car Ber est retenu par un groupe à l’Auberge.
Je commence donc ...
... mes courses par la boutique de lingerie près du boulevard Garibaldi. Elle est petite, mais bien fournie en dessous sexy. La gérante, une femme dans la cinquantaine, me connaît déjà bien depuis quelque temps. En ce milieu de matinée, le magasin est désert. Comme l’essentiel c’est que mon patron aperçoive le relief et la couleur des bretelles du soutif sous le tissu des chemisiers, je choisis une demi-douzaine de balconnets sans bonnets, et des strings assortis. Je vais à la cabine d’essayage et j’enlève tranquillement mon manteau, puis ma robe, et c’est tout, puisque je suis nue dessous.Heureusement que la boutique est bien chauffée. J’enfile le premier ensemble puis j’ouvre et je fais face à la commerçante:
- Il était temps que j’en achète, je n’avais plus rien à me mettre!
Elle en reste baba de me voir sortir dans cette tenue. Je continue à la jouer nature:
- Et vous allez me donner votre avis. Pas la peine que je ferme à chaque fois.
Je retourne dans la cabine mais je laisse le rideau ouvert. Je suis peut-être la première cliente à oser le faire ici. J’enfile successivement les ensembles, prenant des poses devant la glace. Je garde le plus beau pour la fin, un modèle où le peu qui reste des bonnets est une fine bande de résille autour de l’armature, et un string très mini devant, dans la même matière. Je prends les autres dans la main et vais au comptoir:
- J’adore cet ensemble! qu’en pensez-vous?
Comme je la joue toujours nature, elle le prend enfin avec ...