Un moment d'égarement (1)
Datte: 27/01/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: GuillaumeZoophile, Source: Xstory
... venu, j’accueillis mon ami à la maison et ressentis un peu de stress à l’idée de ce que nous allions faire. Mais il savait comment s’y prendre et me rassura à propos de notre amitié.
La partie entre le moment où l’on se déshabille et l’on se retrouve sur le lit est assez confuse. Je me souviens seulement de la gêne que j’éprouvais à l’idée que nos regards ne se croisent et je l’évitais tout simplement. Ca fait bizarre de se soumettre. Surtout quand on est un homme. Et l’idée de recevoir un véritable pénis, remettait pour moi, beaucoup de choses en question. Mais j’étais bien là, allongé sur le dos et les jambes grandes ouvertes.
Quand j’ai vu l’engin qu’il tenait en main, je me suis d’abord senti ridicule. Mais j’ai surtout compris que j’étais à ma place. On pourra dire ce qu’on voudra, que la taille ne compte pas, mais entre mâles, on sait reconnaître la supériorité de l’un par rapport à l’autre. Et là, il n’y avait aucun doute possible. La femelle se trouvait bien sur le lit, à attendre fébrilement que son mâle ne l’honore. Et malgré le plug qui était sensé me préparer l’anus, je doutais que cela ne suffise.
Après l’avoir retiré délicatement, mon amant s’apprêta à son tour à me posséder. Devant mon appréhension, il me fit un sourire et poussa progressivement sur mes jambes, me soumettant ainsi totalement à son désir. Je ne pouvais plus, ou plutôt ne voulais plus revenir en arrière. Je souhaitais juste, si j’ose dire, qu’il aille de l’avant et qu’il accomplisse ...
... son œuvre.
Il tenait sa queue d’une main et la tapotait contre la mienne. Moi je restais passif, à admirer ce membre qui allait bientôt m’investir. Et puis on y était. Poussant contre mon anus, le gland finit par avoir raison du peu de fierté qu’il me restait. Je n’étais plus le mâle dominant que j’avais cru être un jour, mais bien une femelle qui se découvrait dans son rôle le plus évident. Je contribuais à la satisfaction d’un vrai mâle et y trouvais une nouvelle forme d’orgueil.
Sa progression fut laborieuse, mais la douleur supportable. Je préférais alors ne pas imaginer ce qu’aurait donné une pénétration sans préparation ! Et au bout de quelques minutes, je me suis senti mieux. Suffisamment, pour me concentrer sur l’acte en lui-même et non plus sur la douleur. Les va-et-vient de mon partenaire se faisaient plus francs et le plaisir commençait à se faire sentir, pour lui comme pour moi. J’éprouvais quand même un léger malaise, dans ce rôle passif. Mais il y avait aussi du bon à se laisser faire. Cela me donnait un sens plus aigu de la situation et je parvenais alors à apprécier ce qui devait l’être, en gardant les yeux fermés.
Je fus donc acculé, enculé et bientôt maculé... Maculé d’abord par mon propre sperme, car les coups de boutoir de l’homme ne m’ont laissé aucune chance. C’était la première fois que j’expérimentais l’orgasme uniquement prostatique. Et je dois avouer que j’ai adoré. Mon gland totalement décalotté, était gonflé de plaisir comme jamais. Mais ...