1. L'histoire de la truie : genèse


    Datte: 26/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Erosetlesbos, Source: Hds

    ... m’allongeais donc à côté de lui en goûtant à la chance inespérée de l’avoir contre moi. Puis, il se déshabilla, ne gardant que son slip. Cette fois, j’étais troublée, m’étant mis-je en pyjama, je ne bougeais pas. Le ronflement de Coralie me fit prendre conscience que ma sœur dormait. Il s’était assoupit mais moi, évidemment je ne dormais pas. Je me collais doucement contre lui, sentant son corps chaud. Il sentait le propre mais avec la chaleur de la chambre, une petite odeur de sueur aussi, pas désagréable, voire même… mhmm… aphrodisiaque.
    
    Il affichait un tel air de douceur, son beau visage était détendu par le sommeil, il semblait bien… Et soudain, il ouvrit les yeux : « Tu ne dors pas ?
    
    - Euh… je te gêne ? Je t’ai réveillé, demandais-je en bégayant.
    
    - Pas du tout… j’ai le sommeil léger, t’inquiète. »
    
    Et là-dessus, il m’enlaça le plus naturellement du monde et me fit tourner de côté. « Bonne nuit. » me dit-il avant de refermer les yeux. Dos à lui, je sentais son sexe qui appuyait sur mon bas de pyjama et sans m’en rendre tout de suite compte, je commençais à mouiller.
    
    Soudain, ses mains remontèrent brusquement et s’agrippèrent à mes seins. Ses doigts tirèrent mes tétons, jouaient avec mes mamelons puis une de ses mains souleva mon haut de pyjama et me l’ôta pour me peloter franchement. Je n’osais pas y croire. C’était un peu moins romantique que dans mes fantasmes mais presque plus excitant par ce côté brutal. Sa langue commença à me lécher le cou, tel un ...
    ... loup affamé devant une truie bien grasse et vulnérable, puis il baissa mon bas de pyjama et sans un mot me fourra son index dans l’anus, sans même toucher le vagin. « Tu m’excite, ma grosse… » me dit-il avec une voix rauque. Je ne m’attendais pas à un ton aussi direct mais ça m’excitait encore plus : jamais on ne m’avait parlé comme ça, jamais on ne m’avait aussi directement peloté. J’hésitais à réagir mais l’excitation prit le pas sur mon éthique et je me laissais faire. Il m’avait complètement déshabillé sans que je change de position. Je sentais maintenant son sexe gros et dur buter contre mes fesses dodues, besognant comme un bélier sur une porte de château fort. « On va dans ta chambre », m’ordonna-t-il. Et sans se rhabiller et me laisser le temps de me revêtir, il m’emmena dans ma chambre, au risque de tomber sur mes parents, moi nue et rouge de honte, lui en pleine érection.
    
    A peine la porte de ma chambre fermée, il me jeta sur le lit brusquement. Je me redressais et me trouvais fasse à son pénis. Il sentait fort, mon Dieu, la sueur, un peu de liquide pré séminale… une odeur de mâle dominant. Il ne me laissa pas le temps de faire quoi que ce soit, il me saisit par les cheveux et me fit engloutir son membre. Je me mis à le sucer. « Quelle grosse salope… tu me suce comme une déesse… jamais on ne m’avait sucé aussi bien… Grosse putain ! » Quelle vulgarité dans ses compliments… J’en mouillais de bonheur, je suçais le plus bel homme que j’ai eu jusqu’ici et il aimait ça. Il ...
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