1. Amour en musique 17


    Datte: 18/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mysterious1991, Source: Hds

    ... mon tour. J’avais alors retiré mon pantalon et j’avais fait en sorte qu’elle entende le bouton que l’on retire, la fermeture éclair que l’on abaisse. C’était ma manière à moi de dire à ma partenaire que j’étais consentant, que j’étais corps et âme et sexe avec elle. À elle.
    
    On s’était embrassé.
    
    On s’était séduit.
    
    On s’était peloté.
    
    On s’était caressé.
    
    On se faisait confiance, petit à petit.
    
    J’avais voulu m’occuper de son abricot tout chaud, très appétissant. Tour humide, salé. J’avais voulu y puiser un peu, beaucoup de sa cyprine. Rien qu’à l’œil nu, le sexe de la jolie Laura donnait envie. Vraiment. Elle avait en partie épilé son sexe, et elle n’avait gardé qu’un adorable «ticket de métro » fait de doux poils roux. Laura s’était délectée de mes caresses manuelles et buccales que j’avais portées sur sa vulve. Elle en avait tiré beaucoup de plaisir.
    
    On s’était embrassé.
    
    On s’était séduit.
    
    On s’était peloté.
    
    On s’était caressé.
    
    Je l’avais léchée. Doigtée. Avec désir. Avec tendresse. Avec envie. Avec passion. Avec amour.
    
    Et elle… Elle voulait continuer de me rendre au centuple tout ce plaisir que je lui donnais.
    
    Ça luit tenait particulièrement à cœur, à Laura.
    
    Ça avait énormément d’importance à ses yeux.
    
    C’était pour ça… qu’elle avait eu de me caresser… avec ses seins.
    
    C’était pour ça… qu’elle mourait d’envie et de désir… de me prendre entre ses seins.
    
    Ça n'avait été que pur délice, pur plaisir, de me masturber entre ses ...
    ... seins. De faire l'amour à ses seins. Fermes… Doux… Ronds… Gros… Généreux… Je sentais que mon pénis était bien entre eux deux. Son 90D aux larges aréoles roses enserrait à merveille mon membre. La… Les sensations étaient… Pfiou… ! Bonnes… Agréables… Savoureuses… Délicieuses…
    
    Ce n'était que pur délice…
    
    Ma virilité avait coulissé à merveille dans le clivage de la poitrine magnifique de Laura. Et, en parlant d'elle… Laura, elle aussi, jouissait, au centuple, de ce moment particulier, ce moment particulier où elle me donnait avec ses seins. Elle en avait beaucoup rêvé et fantasmé. Et voilà que nous nous étions rencontrés et que c'était devenu réalité… Elle n'arrêtait jamais de me regarder parce qu'elle n'avait pas envie de perdre une seule miette de ce moment. Moi aussi, je la regardais et je ne la quittais pas des yeux, Laura. Ce n'était pas baiser. C'était plus, bien plus, beaucoup plus. On se regardait. On se parlait, de temps à autre. Mais… en réalité, nos yeux… nos corps parlaient pour nous. On faisait l'amour. On se faisait l'amour. On était bien. On était corps et âme et sexe. L'un à l'autre. L'un pour l'autre.
    
    On s'était rencontré.
    
    On s'était fait la cour.
    
    On s'était séduit.
    
    On s'était embrassé.
    
    On s'était peloté.
    
    On s'était caressé.
    
    On s'était découvert, petit à petit. Au fur et à mesure. Avec amour. Avec patience. Avec envie. Avec désir.
    
    Elle avait tenu à me faire découvrir ce que ça faisait quand une femme à la poitrine généreuse prend ...