Des révisions et des découvertes.
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: Poesexe, Source: Hds
Cette histoire, s’est passée, il y a bien longtemps. J’étais alors en terminale. Une de mes camarades de classe, dont la famille était éloignée, louait un appartement, pas très loin du lycée que nous fréquentions. Un matin, alors que nous prenions un café, au foyer, avant les cours, elle me demanda :
- dis, j’ai une lampe qui ne fonctionne plus, tu pourrais y regarder ?
Surpris, je répondis néanmoins
- Je ne garantis rien, mais je peux y jeter un coup d’œil. C’est loin ?
- -Non , juste à 5 minutes à pied du bahut. Tu veux qu’on y passe entre midi et deux
- OK si tu veux, on déjeune ensemble, assez tôt, et on y va.
Le midi, je m’arrangeais pour déjeuner au self, assez tôt, et nous partimes ensuite. Effectivement, elle habitait à deux rues du lycée, un petit studio au 2ème étage d’un vieil immeuble de la ville. L’appartement était petit, mais assez cosy, avec une pièce principale qui servait à la fois de séjour bureau, et chambre, une cuisine séparée et une salle d’eau, avec une douche. Dès notre arrivée, elle me montra une lampe, posée sur le bureau. Je démontais rapidement l’ampoule, et constatai qu’elle était morte.
_ Ce n’est rien, lui dis-je. Il faudra juste changer l’ampoule. Si tu veux j’en apporterais une demain.
- Ah bien, tu me rassures me dit elle. Bon, je dois réviser mon Allemand, mais tu peux rester si tu veux. Tu réviseras avec moi.
Valérie, était une ravissante brune aux yeux verts, de 1,60m environ, plutôt sportive, doté d’une ...
... silhouette plantureuse. A part quelques flirts poussés, je n’avais pas d’expérience, à l’époque, alors que je savais qu’elle en avait certainement plus que moi.
Je connaissais deux garçons , au moins , avec lesquels elle était sortie, et bien qu’elle reste discrète, il était probable qu’elle ait couché, avec eux. Mais, bref, je ne me faisais pas d’illusions. Je restais néanmoins, préférant sa compagnie à une salle d’étude.
Nous nous installames rapidement, côte à côte, le long du petit bureau face à une fenêtre qui donnait sur des toits. Les livres sortis, nous commençames à travailler, mais rapidement, le contact de sa cuisse chaude contre la mienne, vint perturber ma concentration, et, pendant qu’elle répétait les décinaisons, mon esprit vagabondait vers d’autres jeux. Cependant, je n’osais pas le moindre geste, ma timidité prenant le pas sur mes fantasmes, et je dus me replonger dans mes cours, jusqu’à ce qu’elle sonne l’heure du départ.
Le lendemain, je lui annonçai que j’avais une ampoule pour sa lampe, subtilisée dans le stock de mon père, électricien, et nous convinmes d’aller le midi même la changer.
La lumière revint dans son studio, et Valérie, me proposa, encore une fois de rester chez elle jusqu’à 14 h. Elle m’offrit à boire, et me dit qu’elle devait réviser un cours qu’elle avait, en demi-classe , l’après-midi. Je lui empruntais un magazine, que je feuilletais, assis sur le lit, tandis qu’elle s’était remise à son bureau. Au bout d’un moment, j’abandonnais ...